▬ Péché capital principal :
▬ Péché capital secondaire :

• 200 cm.
• Russell fait deux mètres de la crête aux talons et il les fait bien. Si on ajoute la queue, il gagne encore de la longueur ; mais puisque personne ne va aller s'amuser à le mesurer à la règle, on se contentera de souligner combien il est imposant.
• (à moins qu'il ne lui prenne l'envie de se déplacer à quatre pattes, ce dont il est capable mais en général le public n'en est pas particulièrement fan)
• Un mélange lié à la taille, à la carrure, et à son apparence générale de dinosaure un peu trop agile pour le bien d'autrui.
• En effet, aussi musclé et taillé soit-il - et on ne peut pas le rater, ça se voit à chaque mouvement, et il est taillé en V - Russ est une armoire à glace optimisée.
• Contrairement à ses cousins crocodiliens, il a de bonnes articulations qui fonctionnent parfaitement, et une répartition astucieuse de son poids qui le rend capable de déplacer toute cette masse de muscles et d'écailles comme si de rien n'était.
• Enfin, qui lui permettrait.
• Sans la présence de sa queue qui elle est un sacré boulet.
• Longue, massif et lourde comme un parpaing, elle forme la continuité de sa colonne vertébrale, touche le sol et y traîne : elle n'a rien ne mobile, et est très peu sensible, contrairement à celles de beaucoup de ses congénères.
• Donc en bref, elle ralentit Russell, le rend parfois maladroit, et il a tendance à l'oublier et à la balancer dans les choses et les gens.
• Un bonheur.
• Heureusement qu'il n'est pas épineux en plus du reste : à peine quelques écailles dressées le long de la colonne jusqu'au crâne pour la décoration. Plus sombre que le reste de ses écailles, qui elles, se dégradent dans toutes les nuances entre le jaune-vert et le brun, et couvrent l'intégralité de son corps.
• Cette carapace est épaisse - Russ n'est, de fait, pas le plus sensible aux blessures ou aux contacts, et il faut parfois forcer pour qu'il les sente - quoique plus tendre aux articulations, sur la gorge, le ventre, et l'intérieur des membres, et présente des motifs abstraits formés par l'assemblage des écailles de différentes couleurs.
• Plus claires lorsque la peau est plus fine, ces dernières s'assombrissent en revanche nettement au niveau de la tête et des extrémités.
• Bipédie et plan d'organisation général humanoïde exceptés, Russell n'a rien d'humain.
• C'est un lézard géant. Sur deux pattes. Avec une gueule de crocodile.
• Gueule longue, écailleuse également, pleine de dents triangulaires qui se superposent mal : il a souvent une canine qui dépasse, comme pour se moquer du monde. Par ailleurs, il est facile de se sentir visé par le sourire figé que sa gueule reptilienne affiche par défaut : au repos, on lui croirait toujours un rictus railleur au coin des lèvres.
• Ce qui n'est peut-être pas tout à fait faux.
• Russell a cela pour lui que son caractère peu charitable ne se voit pas sur sa figure : il est bien compensé par sa très faible expressivité corporelle, merci Aether.
• Oui parce qu'on ne va pas en demander beaucoup plus à ses yeux, typiquement reptiliens, jaune-verts à pupille verticale et membrane nictitante. On aurait du mal à en tirer quoi que ce soit.
• Quant au langage du corps, on pourrait dire qu'il est absent. Russell bouge ce qu'il a besoin de bouger quand il a besoin de le bouger, point. Sachant qu'il est aussi capable de rester rigoureusement immobile comme une statue - et qu'il le fait régulièrement parce que ça effraie les gens et qu'il trouve ça drôle - l'analyse ne risque pas d'aller très loin.
• Excepté lorsqu'il s'excite ou s'énerve et que tout cette belle maîtrise granitique se fait un peu la malle sur les bords. Il lui faut du temps pour se calmer une fois qu'il est lancé, mais en attendant, c'est claquements de dents frénétiques, tremblements, sifflements, crissements et coups de queue ; l'ensemble est assez menaçant et pas tout à fait agréable à entendre.
• Surtout que niveau menace physique, Russell est plutôt bien équipé : entre les dents façon rasoirs, beaucoup trop nombreuses, la force brute, la queue et les griffes, il y a de quoi faire.
• Une très longue langue reptilienne qu'il te mettra dans l'oeil à la moindre incartade, ça compte aussi - peut-être - parfois il se la mord tout seul et il déteste ça, c'est comme ça que fonctionne le karma.
• Pour quiconque ignorerait que l'animal est pacifique, ça donnerait plus que matière à réfléchir.
• L'animal en question ne va pas s'en plaindre, ça non.
• Russell a aussi des tatouages un peu partout où ladite carapace le lui autorise, mais ils sont peu visibles et s'abîment très vite.
• Il s'habille en débardeurs, treillis et vestes type army, beaucoup de couleurs neutres ou terreuses, kaki, ocre, vert... Mais de manière générale, des vêtements qui lui laissent sa liberté de mouvement.
• On le voit rarement sans des lunettes de protection sur le crâne ou autour du cou, des gants ou un quelconque accessoire de protection : à croire qu'Asphodèle entière est son atelier et qu'il y aurait besoin de faire une soudure à un coin de rue à n'importe quel moment.
• Et comme Russ a une passion notoire et délétère pour tout ce qui est mignon et coloré, il barde tout ce bazar d'alligator kamikaze de badges idiots et multicolores, quand ce n'est pas des pins ou des porte-clés.
• No comment.

• C'est probablement dû en grande partie à son faciès reptilien, mais pas facile de savoir ce que Russ a dans la tête.
• Ce qu'on sait, c'est qu'il est acerbe et aime titiller les gens. Ça, difficile de le rater.
• Toujours narquois. Rarement cynique, généralement juste pour la forme, mais s'il n'aime pas son interlocuteur, il met rapidement les deux pieds dans le domaine du franc sarcasme.
• Quand il décide de dégainer son plus beau sourire dégoulinant d'hypocrisie, Russell ne le fait que pour caser plus de piques sous-jacentes, jusqu'à ce que l'autre ressemble à un hérisson.
• En bref, il powerwalk sur tout le monde et il en fait qu’à sa tête.
• Dans la limite de la loi et des règles et yadda, mais tout de même.
• Rusty est intelligent, et surtout, calculateur. Il aime les plans, il aime les casse-têtes, réfléchir en général, c'est sa came.
• C'est un vrai hyperactif qui doit toujours s'occuper. S'il a pas son café et ses quatre activités différentes par jour on le verra pas en pause ou détendu, il n'y arrivera pas.
• L'un de ses petits handicaps est qu'il s'énerve vite et qu'alors, c'est dur de l'arrêter. Il devient rapidement frénétique, nerveux, siffle, tremble, parle trop vite, fait tout en même temps, et ça peut durer un moment.
• (il a parkinson)
• De manière générale, ça le rend impatient, et éventuellement désagréable, mais pas violent. Très jeune, Russell avait cet autre petit handicap de vouloir mordre un peu tout ce qui passait.
• Comment dire qu'il a dû travailler dessus parce que c'était pas légal-légal, comme plan, pour passer sa frustration.
• Surtout quand les trucs frustrants c'étaient des gens.
• Bref. Il fait juste la cocotte-minute dans son coin maintenant en claquant des dents. Hybride cocotte-minute/réveil fou. C'est un style.
• Plein de gens lui ont dit que c'était parce qu'il consommait beaucoup trop de sucre, mais il y croit pas.
• (il est beaucoup trop accro aux sucreries c'est un fait)
• Passionné de tout ce qui peut se monter ou se démonter (genre ta m-), de mécanique et de technologie en général, Russell adore bricoler. Les machines c'est toute sa vie ok (avec le café et les pictogrammes de poussins roses).
• Enthousiaste pour ses trucs mais il aime pas expliquer, il a zéro patience, alors il s'excite tout seul dans son coin.
• Il n'est pas prêteur et s'il accepte qu'on tripote à ses affaires et aux trucs qu'il bricole, justement, attention quand même.
• Ça vaut cher ça.
• (peut-être)
• Russ a un petit truc avec l'argent, tant qu'on y est. Il aime l'argent. Il aime pas partager. La générosité financière, c'est pas sa tasse de thé.
• On peut acheter des trucs avec l'argent, d'accord, et lui il aime avoir des trucs.
• Plein de trucs.
• Il aime aussi arnaquer les gens. Bon.
• Se sentir plus intelligent que les autres, surtout, et donc il aime bien faire du business, et marchander, et quand il a ce qu'il veut il est content. Pas à cause du truc, mais à cause de la réussite.
• Il aime gagner, quoi.
• Joueur, mais mauvais joueur.
• Aller vers les gens ne lui pose pas de problème. Il aime la compagnie. Tant qu'on ne l'empêche pas de faire ses trucs. Tant qu'on ne dérange pas et ne vole pas ses trucs.
• Quand il t'aime bien il t'aime bien, mais quand il t'aime pas BAH IL T'AIME PAS. Si tu l'as énervé, pareil. Si t'as marché du mauvais côté de la rue un jour où il était de mauvaise humeur, pareil.
• Mais globalement ça va quand même, Russell n'est pas si caractériel. Il est généralement en bons termes avec le voisinage et a plusieurs amis proches.
• Par contre niveau relationnel, pour peu que ça vire un peu compliqué, il peut avoir du mal à gérer.
• Il est un peu borné et parpaing, quoi. On ne peut pas être bon en tout.
• Parfois il oublie les gens. Ou il passe à côté de choses évidentes. Ou il ne comprend pas. Et comme il est sarcastique tout le temps, ben parfois ça passe pas.
• Et quand c'est important, bah ça l'énerve et il boude.
• Parce qu'il refuse de s'excuser.
• Il déteste avoir tort. wtf. No. Jamais.
• Donc bon.
• Après il peut facilement faire comme si de rien n'était.
• Mais il est d'un susceptible. Son honneur blessé fera à autrui l'honneur d'un silence scandalisé pendant un moment avant que tout ne revienne subrepticement à la normale.
• Russ joue les gros durs irascibles et asociaux, mais en vrai c’est une peluche gaga (non), tout le monde le sait (non plus).
• Mais malgré tout ce qu'on pourrait penser, Russell est assez facile à vivre tant qu'on est pas trop pointilleux avec lui.
• Globalement chaleureux, complice, et accueillant, sa jauge de tolérance est nettement plus élevée que ne le laissent présager ses grognements de papy renfrogné.
• Après faut supporter qu'il râle de temps en temps, ses piques et sa susceptibilité, mais globalement.
• Tu squattes chez lui il râle puis te fait à boire, quoi. Pas dur.
• C'est qu'un gros lézard au fond, pas vrai.

Asphodèle, A-45.


(...)

---

• Comme tous ses congénères, Russell se retrouva, un beau jour, à cligner des yeux sur les herbes folles d'Asphodèle là où un instant auparavant, il n'y avait rien.
• Enfin, supposant qu'il n'y avait rien, parce que l'ensemble restait assez flou.
• Contrairement à beaucoup de ses congénères, il ne fut pas retrouvé immédiatement, pour la simple et bonne raison que le petit coin de paradis en question se trouvait être l'église abandonnée de la zone 3.
• Pas le lieu touristique le plus fréquenté, il faut dire.
• Notre crocodilien de deux mètres de haut (trois de long) accepta donc gentiment son sort de nouvelle entité consciente et fit sa petite vie autour de ladite église pendant une ou deux semaines (voire plus, mais sans calendrier sous la main, allez savoir) avant qu'un touriste le repère et qu'on vienne aimablement lui demander de s'habiller.
• Un concept, ça.
• Pas contrariant, le gentil dinosaure alla donc se présenter aux services administratifs - dûment vêtu ainsi que demandé - où on lui expliqua deux-trois bases avant de lui attribuer un logement, un numéro et un nom.
• Soit, soit, soit.
• (il échappa à Denver de très peu et quelque part, tant mieux parce qu'il aurait mis du temps à comprendre.)
• Russell s'embarrassa assez peu des détails et balança rapidement tout ce qu'il y avait à balancer dans sa maison toute neuve pour aller explorer le monde.
• Comble du bonheur, le monde était plein de trucs et de machins et de gens, et il s'avéra très vite que Russ adorait les trucs et les machins et les gens.
• Curieux de tout et bourré d'enthousiasme à ne savoir qu'en faire, il mena la vie dure à à peu près tout le monde dans Asphodèle en posant des questions sur tout, voulant lier connaissance avec chacun, et tripoter à tous les objets qui passaient dans son champ de vision.
• Chose qui ne posa pas de réel problème, jusqu'à ce qu'on se rende compte que Russell avait assez mauvais caractère lorsqu'il se retrouvait frustré ou énervé.
• Et par la force des choses, de son caractère impatient, et de la vie en général, l'alligator hyperactif se retrouvait frustré assez souvent.
• Colérique, insatiable, mal accoutumé aux codes sociaux auxquels il n'avait prêté qu'une attention rapide et distraite, Russell avait aussi un défaut un peu plus grave : il aimait mordre.
• Sauf que la première fois qu'il mordit quelqu'un, taille de la gueule aidant, l'histoire se termina relativement mal.
• (et comme il refuse de s'excuse/)
• S'ensuivit une période compliquée jallonnée de réprimandes - sanctions qui ne firent qu'accroître la nervosité du jeune daemon en présence d'autrui ; nervosité qui vira rapidement au mal-être, au manque de contrôle, et de là aux récidives. Pas toujours jusqu'au coup de dent, mais souvent au conflit de gravité non négligeable.
• Réprimandes - sanctions - récidive - réprimandes - rebelote.
• Découvrir le concept de la muselière ne fit qu'empirer les choses puisque Russ se découvrit instantanément une haine au niveau moléculaire pour l'objet en question.
• Bref, conflit avec l'administration et la police au top, et petit dinosaure carnassier pas loin de devenir ingérable.
• Comme à l'administration ils n'étaient quand même pas attardés, on finit par imposer à Russ un suivi psychologique pour régler tout ce petit tas de tracas quotidiens.
• La gentille personne le redirigea vers un coach spécialisé dans ce genre de problème, un tout aussi gentil garçon nommé Marian López Águila.
• Marian López Águila, deux mètres dix, biceps de la circonférence d'un jeune arbre chacun, ancien chef pâtissier étoilé et professeur de yoga.
• Le courant avec notre petit crocodile en crise d'adolescence passa bien, très bien même.
• Rapidement, Russ se mit à trouver refuge chez Marian et son mari, un daemon-oiseau de paradis nommé Bel Belize. Agent évènementiel de son état, ainsi que professeur de latin et de karaté.
• A coups de tous les prétextes possibles et imaginables, des chaises bancales et horloges déréglées - il était désormais en formation réparateur/mécanicien - aux repas pour telle ou telle occasion et aux restes à finir, puis sans plus aucun prétexte du tout, Russell se retrouva toujours fourré chez Bel et Marian, jusqu'à ce que ce dernier réalise qu'ils étaient complètement collés à la hanche.
• Réalisation facilitée en voyant Bel Belize étaler tout son fluff sur le crocodile et camper sur le dossier de son fauteuil en refusant insidueusement de le lâcher. (encore un daemon frustré de pas pouvoir avoir de poussins ça)
• Bel avait le même petit côté caractériel que Russell.
• (and what husband wishes husband shall obtain)
• Comprenant qu'un suivi professionnel n'allait pas aider leur nouveau protégé des masses, Marian mit fin à leur contrat, et leur travail se poursuivit de manière informelle.
• Il y eut de nets hauts et de nets bas, et ils faillirent même se brouiller pour de bon une fois, mais au fil des années, Russell gagna en calme, self-control et en indépendance, jusqu'à pouvoir laisser tous ces problèmes derrière lui.
• Il travailla d'abord pour plusieurs mécaniciens en ville, puis postula aux services de polices, où il fut gentiment recalé à cause de son casier.
• Ce qui le fit grincer des dents pendant quelques années, ne le cachons pas.
• Il apprit à mieux connaître et respecter les gens et les choses, se fit des amis, une ou deux copines, un ou deux copains.
• Au bout d'un moment, il en eut assez de travailler pour les autres et ouvrit son propre atelier de création/réparation, dont les services principaux partirent rapidement dans tous les sens.
• Mais c'était son style et ça lui allait, alors aux maquettes côtoyant les caisses de réparation pour la plomberie s'ajoutèrent bientôt des prototypes de machines utilitaires en tous genre, puis les prothèses mécaniques, le nécessaire pour tatouer, les boîtes à musique et les horloges à ressort.
• Pris d'une passion (et addiction) pour le café, il en fit d'ailleurs sa deuxième vocation.
• Bref, il prit de l'âge, de la bouteille, ça lui alla plutôt bien, façon vieilli en barrels de whisky un peu, la classe.
• Bon la classe, peut-être pas, mais il commença à aquérir un petit côté vintage qui faisait bien dans le quartier. A faire partie des meubles.
• Il rencontra d'autres gens, se fit d'autres amis, se fâcha avec certains, fut laissé tomber par d'autres, mais paraît-il que c'est la vie.
• La vie, Russell s'y faisait plutôt bien. Prompt à évacuer les problèmes d'un revers de main, et trop concentré sur ses propres affaires pour laisser les autres l'atteindre.
• Sur une période, il dragua intensément la propriétaire friquée et sexy d'une ligne de vêtements branchée en vogue en ville. La dame tentaculaire s'appelait Prada et son style lui faisait de l'oeil.
• Tous deux aussi requins l'un que l'autre, ils tombèrent en accord sur leurs intérêts communs à faire fructifier le commerce local - et plus si affinités, wink (quoi, elle a des tentacules la dame) - et rapidement, le mariage fut plié à la mairie.
• Oui, un vrai mariage, c'est comme ça qu'on bâtit des empires messieurs-dames.
• En fait d'empire, leur association, quoique fructueuse, ne dura pas si longtemps, sans doute en partie à cause des caractères fermement égocentriques et - disons-le franchement - passablement insupportables des deux parties concernées.
• Que Madame en ait eu marre que Monsieur lui titille les ventouses, ou que Monsieur en ait eu sa claque que Madame lui casse les écailles, toujours est-il qu'au bout d'un an ou deux à repousser la dissolution de l'affaire, leur mariage vola en éclats dans le feu et le sang.
• Oui, parce que qui ici croit qu'il n'y a pas eu une véritable guerre financière liée aux retombées du divorce, franchement.
• Well there were.
• (et Russ perdit)
• (et il l'a encore mauvaise)
• (du coup maintenant il pourrit la vie de son ex avec une conscience professionnelle admirable)
• Mais revenons à nos moutons.
• (coucou Chipie)
• Revenu à la vie de célibataire en grande fanfare - woohoo liberté - même si pas mal aigri par tout le bazar, Russell reprit ses activités, se diversifia, rencontra encore des gens.
• S'essaya à la cuisine (fructueusement) et au jardinage (moins fructueusement).
• Alors qu'il devenait clairement moins ouvert et plus grincheux qu'avant avec l'âge, on se mit à squatter plus facilement son atelier que dans ses débuts.
• Les jeunes, franchement.
• Il se mit à entasser les chatons dans des tasses.
• Il se mit à entasser des chatons sur Chipie.
• Son café est le meilleur d'Asphodèle.