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João Maria C. Galhardo
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João Maria C. Galhardo

En bref

Masculin
Messages : 6




I am just an image of
something so much greater ;
I am just a picture frame -
I am not the painter.
Nom : Carvalho Galhardo.
Prénom : João Maria.
Surnom : Joãozinho, Janjão, Jão, Jone, Jójo.
Sexe : Masculin.
Âge effectif : 18 ans.
Âge apparent : 18 ans.
Arrivé depuis : 01/04/02.
Date de naissance : 18/08/1871.
Date de mort : 31/10/1889.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel.
Groupe : Commotus.
Nationalité : Brésilien ; Rio de Janeiro.
Langues parlées : Portugais brésilien ; des bases de français.
Ancien métier : //
Métier actuel : //
Casier Judiciaire


▬ Crimes commis :
▬ Circonstances du décès :
▬ Péché capital principal :
▬ Péché capital secondaire :
▬ Rapport à l'alcool :
▬ Rapport aux drogues :
▬ Addictions :
▬ Mauvaises attitudes récurrentes :
▬ A été victime :


Physique


• João Maria mesure un mètre soixante-dix ; pas bien grand, donc, quoiqu'il ne se considère pas petit. Dans la moyenne, et voilà tout.
• Basse, certes, mais la moyenne quand même.
• Ni large ni fin, il avait à force d'immobilité forcée et de divers problèmes de santé perdu en fin de vie pas mal de poids et de muscle — qu'il ne va pas tarder à reprendre, donc peu importe.
• (le poids, en tout cas)
• Il a des épaules ; peu de hanches, mais pas au point d'être un V. Relativement longiligne. Elégant.
• Sa peau est brune. Trop claire pour que tout le monde le pense spontanément noir, mais bien trop foncée pour être blanc ; marron, mat, métis. Selon les sensibilités de chacun, il aura l'air plus ceci ou plus cela.
• Ses cheveux, très bruns, ondulent beaucoup et sont suffisamment épais pour poser problème quand il s'agit de les coiffer. Il doit s'acharner longuement pour réussir à les faire tenir en place, et ne ressemble à rien au réveil.
• Il les garde généralement coiffés en arrière, visage dégagé, et assez courts. Toujours bien peignés, ça va de soi. C'est un GENTLEMAN.
• Ses yeux sont, sans surprise, marrons et foncés. Pas d'yeux bleus dans sa famille, pour autant qu'il en sache. Même du côté blanc.
• Son visage est quelconque. Ni hideux ni joli ; juste... Fonctionnel. Existant. Certains le trouveront beau garçon, d'autres le trouveront franchement pas terrible. Tout est question de goûts.
• Il ne se rase jamais entièrement — ou alors par obligation, sait-on jamais. Sa moustache fait partie intégrante de sa personne depuis qu'elle a bien voulu cesser d'être ridicule et honteuse ; et puisque ça aura été tôt, dans son cas, il y est d'autant plus habitué.
• Sa pilosité faciale l'aide à ajouter quelques années fictives à son visage encore juvénile. Ainsi, on lui donnera facilement une vingtaine d'années, voire un peu plus. S'il se rasait, il se reprendrait ses dix-huit ans dans la figure. Non merci ; il se trouve très bien comme ça.
• Il a la voix un peu grave et très expressive. On entend facilement toutes ses inflexions et les sentiments qui y passent. Aucun soucis là-dessus.
• Son visage l'est également, dans une moindre mesure. Il a le sourire facile, des yeux vite écarquillés et un merveilleux jeu de sourcils.
• Il est également du genre à faire de grands gestes et à appuyer ses discours de mouvements de droite et de gauche, quitte à carrément marcher sur place ou taper du pied au sol. Quand il est mal à l'aise, ça se voit.
• Sa peau foncée l'empêche au moins de rougir. Un mal pour un bien.
• Quelques difficultés techniques lui ont fait perdre en agilité et en coordination. Rien qui ne saurait revenir avec le temps ; pour l'instant, malgré tout, il se retrouve un peu gourd. Gauche, si on veut. Maladroit. Pas très rapide.
• Ça va prendre un moment à se réajuster, mais il a confiance.
• Question tenue, il prône l'élégance et aime s'occuper de lui. Sans excès, mais tout de même.
• (enfin sans excès de son avis ; certains trouveraient qu'il passe beaucoup de temps à s'habiller, mais b r e f)
• Se sentir bien dans sa peau, c'est important. Ne pas être comprimé dans ses vêtements, c'est aussi important.
• Porter un chapeau ? Extrêmement important. Des gants ? Préférable.
• Nous nE SOMMES PAS DES SAUVAGES, TOUT DE MÊME.


Caractère


• João Maria est un passionné. Il aime, il adore, il se donne à trois mille pourcent et on ne le récupère jamais tout à fait.
• C'est dans sa nature. Il ne compte pas changer.
• Il aime explorer, découvrir, apprendre, savoir, tester, rater, recommencer. C'est un scientifique dans l'âme ; pas un inventeur, pas franchement un visionnaire, mais la technologie le fascine et tout ce qui est nouveau attire son intérêt. Des constructions, des miracles de l'architecture, des découvertes géographiques — tout y passe, vraiment.
• Malgré tout, il reste en premier lieu un féru de nouvelles technologies et de grandes inventions, ainsi que d'architecture de manière générale (et de la tour Eiffel de manière plus précise). Il ne s'en lasse pas.
• La médecine l'intéresse moins, le social également. La politique le fatigue, quoiqu'il trouve le sujet intriguant et sache en voir l'intérêt. La météorologie l'intéresse, l'anthropologie dans une certaine mesure également, l'astronomie est fascinante, et cetera et cetera.
• Encore une fois, si on le laisse étudier quelque chose, on ne le récupère pas. Il peut en parler pendant des heures.
• Très motivé, João ne laisse jamais tomber une entreprise quelle qu'elle soit. S'il veut faire quelque chose, il le fera ; s'il abandonne, c'est qu'il n'y avait vraiment aucune manière pour lui d'atteindre son but. Et, généralement, il considèrera avoir mis la tâche de côté plus qu'autre chose.
• Bon perdant, il ne voit aucun mal à faire des erreurs ou à se tromper, et reconnaîtra volontiers l'avoir fait si c'est le cas. Il n'en conçoit pas une attaque personnelle. Il y a bien peu de choses qu'il prend personnellement, en fait.
• À part bien sûr si on vient l'insulter en face. Là, bon. Il ne peut pas IGNORER non plus.
• Naïf par bien des aspects, il n'est pas non plus stupide. Loin de là. C'est un garçon très intelligent sur le plan scolaire, qui a juste parfois quelques difficultés à comprendre les subtilités du social. Il sera facilement manipulé et ne remettra pas assez en doute les intentions de chacun.
• Il n'a pas le TEMPS. DE DOUTER. DE TOUT LE MONDE. GERARD.
• Et puis ce serait terrible et cruel. Non merci.
• Sociable quoique relativement timide, il arrive sans mal à parler aux autres mais ne sait pas toujours comment démarrer la conversation. C'est un extroverti motivé qui a besoin de contact, donc il s'en sort et réussit à se forcer — mais le fait est qu'il doit se forcer. Sinon, il passerait des heures à hésiter.
• C'est bien le seul sujet sur lequel il hésite, par ailleurs. Il est complètement tête brûlée à tous les niveaux, autrement.
• Casse-cou, imprudent, du genre à vouloir tout tester lui-même sans trop faire attention à sa propre santé et à son intégrité physique. N'EST-CE PAS.
• "nON JoãziNhO ReVieNS"
• Voté le plus à risque d'aller toucher des objets dangereux ou poker un loup avec un bâton.
• Très bavard, il devient incapable d'aligner deux mots lorsqu'il est gêné. Ensuite il fait tomber tout ce qu'il avait dans les mains, rit comme un imbécile et cherche une porte de sortie.
• C'est tragique à voir.
• D'autant qu'il essaie de compenser en parlant dix fois plus. Mieux vaut l'arrêter, dans ces cas-là.
• Globalement gentil, quoi qu'un peu brutal parfois dans sa manière de réagir ou de dire les choses, il ne fait pas volontairement de mal aux autres et ne voit pas l'intérêt d'être cruel ou de s'acharner sur plus faible (ou non) que soi. Il n'a pas de temps à perdre avec des personnes qu'il n'apprécie pas.
• Sauf si elles lui apportent quelque chose. S'il vous déteste mais que vous êtes brillant, il reviendra à votre porte dix fois de suite.
• Oui, vous êtes INSUPPORTABLE. Mais il a besoin de vous parler. Maintenant. De trucs et de machins. Parce que vous êtes intelligent et ça l'offense eT VOUS ALLEZ AVOIR CETTE DISCUSSION. OK.
• Il est aussi voté à risque d'avoir un rival avec qui il entretient une relation trop intense qui fait plisser les yeux des lecteurs (mais si c'est un homme ça donnera rien, dsl) (par contre si c'est une fille welp)
• Il est motivé. Difficile de s'en débarrasser.
• Un brin machiste, pas raciste (c'est lui la victime, donc fatalement), il a des avis de son époque sur bien des sujets — y compris l'homosexualité. Il ne faut pas trop en espérer de ce côté-là.
• Il ne sera pas OUVERTEMENT INSULTANT, mais il va être très perplexe.
• Romantique, il n'est pas contre les expériences (la base de la vie) mais juge qu'on ne peut pas vivre uniquement de relations brèves et sans profondeur. Il veut trouver la femme de sa vie et la courtiser pendant dix ans. Chose qu'il fera s'il décide que unetelle est la femme idéale. Il peut virer très ridicule sans le moindre problème. Il roulera par terre avec des fleurs s'il le faut.
• Plus de dignité. Il s'en fiche.
• Pour autant, il ne se laisse pas marcher dessus. Même si vous êtes la femme de sa vie ou son idole. Il sait se défendre et répondre.
• Son estime de lui est dans la norme. Il sait où sont ses faiblesses, où sont ses forces, et ne se considère pas PARFAIT mais ne va pas se rabaisser non plus. S'il est bon en ceci, il est bon en ceci. Rien ne sert de se rabaisser sans raison.
• Il n'accorde pas moins de valeur à sa vie qu'à celle des autres non plus.
• Il a des valeurs, tout ça tout ça. Je sais plus quoi dire au cas où vous auriez remarqué. Donc en bordel :
• Très curieux, relativement loyal, ne ment pas plus ou moins qu'un autre ; peut être extrêmement borné, ne se rend pas toujours compte qu'il a blessé l'autre, peut ne pas être assez présent au goût de ses proches, se met peu en colère mais déteste ne pas être écouté ou cru, accorde sa confiance facilement mais n'ira pas se faire avoir trois fois par la même personne. Il apprend de ses erreurs, est très sensible à la spiritualité même s'il n'y croit guère, respecte les lubies de chacun mais n'a aucune patience pour tout ce qui est selon lui inutile — à savoir que s'il veut faire quelque chose, vous ne réussirez pas à le tenir tranquille pour le thé ou le café.


Histoire


• João Maria n'aura pas eu à sa plaindre de son enfance. Sachant ce que d'autres peuvent vivre, il en est ravi et terriblement reconnaissant.
• La situation financière des Carvalho Galhardo est confortable. Ses deux parents sont des gens bien, quoi qu'un peu maladroits parfois, et sa sœur ainée fait tout ce qu'une sœur ainée se doit de faire : l'embêter, lui tirer les cheveux, puis le ramasser en petit tas et l'enrouler dans une couverture parce qu'elle l'aime et qu'il est rudement important qu'il saisisse bien la complexité de cet état de fait.
• Il comprend sans mal. Tirer les cheveux ? Preuve d'amour.
• Il applique avec joie.
• (mais uniquement sur Fernanda ; ses autres sœurs ne méritent pas de telles sauvageries, étant donné qu'elles ne semblent pas considérer les taquineries comme une preuve acceptable d'amour — et lui se sentirait trop coupable de les faire pleurer.)
• Son enfance, donc, est heureuse. João Maria ne manque de rien.
• Il grandit entouré, tant chez lui qu'en dehors ; a des amis, des livres, des occupations mondaines et plus ou moins sages.
• Il revient parfois avec un sourire désolé et un pantalon déchiré. Les risques du métier.
• C'est un enfant curieux. Son esprit est vif, quoi qu'il fonctionne parfois d'une drôle de façon — mais il travaille dur et a de la persévérance pour dix, alors il comble sans mal le fossé qui pourrait le séparer de camarades plus ordinaires.
• Non pas qu'il soit radicalement différent. Mais il est intelligent, c'est certain, et ses associations d'idées perdent ses interlocuteurs lorsqu'il ne fait pas attention. On le dit tête en l'air ; original.
• Ça ne l'a pas empêché de se faire des amis. En ce qui le concerne, c'est l'important.
• Se retrouver ostracisé l'aurait peiné. C'est un garçon sociable.
• Sociable et intelligent ; les deux points les plus importants, en soi.
• Il a besoin d'autrui, et il a besoin de penser.
• Deux menus détails à ne pas oublier.

• Si João a vécu une enfance sans difficultés ni drame majeur, il aura tout de même eu à essuyer les commentaires désobligeants de quiconque le trouvait oh, vous savez, un rien foncé, peut-être un peu trop marron — joli nez, en revanche.
• Être mulâtre a bien peu d'avantages. Il s'en rend rapidement compte.
• Quelques commentaires désobligeants, parfois violents ou méprisants ; des moqueries, surtout. On ne le frappe pas, on ne le vole pas. Il est parfois mis à l'écart, mais pas assez pour s'en retrouver chagriné durablement. Il n'est pas seul, encore une fois — et puisque c'est un garçon résilient et raisonnable, il sait relativiser.
• Le monde est cruel, parfois. C'est ainsi.
• Bárbara, sa sœur cadette, est la plus typée de la fratrie. Lui et Fernanda sont un mélange équilibré de leurs deux parents ; la peau brune, les cheveux bouclés, voire frisés dans le cas de son aînée — qui a aussi hérité d'un nez plus plat, et en est désolée. Maria Lúcia, la plus jeune, est plus claire qu'eux. Elle passe plus facilement inaperçue, et souffre moins de sa condition.
• Nulle jalousie entre eux pour autant. Les deux plus jeunes jouent volontiers ensemble et se coiffent tout en se noyant l'une l'autre de compliments. João participe peu (prendre le thé ne l'intéresse guère), mais il surveille le manège avec attendrissement.
• La famille est unie, et tout le monde s'y porte à merveille. Il doit bien y avoir un ou deux oncles, peut-être un grand-parent qui n'approuve pas le choix de partenaire de leur enfant — mais rien qui ne dépasse les limites tacites de la bienséance, et c'est parfait ainsi.

• En L'AN DE GRÂCE 1886, João Maria fête ses 15 ans. Encore immature d'après ses parents, presque un homme selon sa propre évaluation très objective de sa personne, il n'a pas vraiment changé. Il est toujours curieux ; toujours espiègle et plein de vie, avec plus d'idées qu'il n'a de temps pour les explorer.
• Avec le temps, il s'est pris d'affection pour les nouvelles technologies. Les nouveaux matériaux. Les innovations, les découvertes, les recherches — tout ce qui touche à l'architecture ou à l'ingénierie peut le lancer dans des heures et des heures de discussion ininterrompues.
• Ses amis sont habitués ; ses sœurs et ses parents aussi. Fernanda partage certains de ses intérêts, et l'écoute volontiers. Les deux plus jeunes n'y comprennent rien à rien, mais sont assez gentilles pour faire semblant de s'y intéresser. Elles savent que quelqu'un va invariablement venir les sauver en attirant son attention sur autre chose , donc ses logorrhées ne les chagrine pas trop.
• Il aimerait être architecte. Inventeur. Voyager ; voir le monde, le comprendre. Rencontrer des peintres, des scientifiques, des passionnés. Expérimenter. Essayer. Voir.
• Il veut il veut et il veut encore. Dessine, conçoit, pense, tente de deviner — se trompe, recommence, se trompe, recommence. Chaque erreur le fascine ; il revient à la tâche avec deux fois plus d'ardeur et une liste plus courte, ligne barrée après ligne barrée.
• Ce n'est pas ça qui mettra du pain sur sa table, plus tard, mais ce n'est pas non plus inutile. S'instruire est important : sans compter qu'au fond, il y a toujours de l'avenir dans, eh bien. La course vers l'avant. La technologie est en plein essor, après tout. Bientôt, qui sait à quoi le monde ressemblera ?
• S'il peut devenir quelqu'un, ou au moins réussir à vivre de ses intérêts, ses parents ne demandent pas mieux. Ce sont des personnes compréhensives. Pas franchement rigoureux, mais attentifs et soucieux de serrer la bride à leurs enfants s'ils les pensent en danger.
• João Maria les aime autant qu'il les respecte. Même chose pour sa sœur ainée. Même chose pour ses amis et le reste de sa famille.
• Il n'a que du respect pour ceux qu'il considère être des gens bien.
• Est-ce qu'il les écoute pour autant ?
• Pas toujours, non.
Le garçon est un esprit libre, vous savez.

• L'esprit libre de celui que ses sœurs appellent affectueusement Joãozinho se heurte à un mur très métaphorique un soir de juin. Rien de particulier à ce jour, pourtant ; il lit, comme d'habitude. Apprend, comme d'habitude. S'occupe, comme d'habitude.
• Le sujet sur lequel il est penché en ce moment est complexe. Il s'y attelle depuis longtemps ; obstiné comme à son habitude, il démonte patiemment les défenses ennemies sans perdre son objectif de vue. Tout problème a sa solution. Il ne voit pas les choses autrement.
• Mais ce soir de juin, alors que saison sèche commence tout juste à Rio, João Maria cesse de faire des progrès.
• Il bloque.

• Et, petit à petit, juste comme ça, il se met à reculer.

• Le problème n'est évident que pour lui, et lui vaut bien des regards de travers. Il sait qu'il y en a un, pourtant : il n'est pas stupide.
• C'est bien là le problème, d'ailleurs — il n'est pas stupide. Il est brillant. Il est capable. Il ne se porte pas en particulièrement haute estime, ne se croit pas invincible et encore moins parfait. Il sait que certaines choses sont hors de sa portée. Il le comprend, il l'entend, il l'accepte.
• Il s'acharne, se tue à le marteler à qui veut l'entendre. Il comprend. Il sait. Il n'est pas un imbécile tentant vainement d'expliquer ses échecs au lieu de les accepter et d'en tirer des leçons. Il est réaliste. Raisonnable.
• Et, honnêtement, plus qu'un peu terrifié.
• Mais non. Il va bien. Tout va bien. Il est juste frustré et en colère. Il est juste à cet âge où l'on se sent perdu. Ça ira mieux le lendemain.
• Quand il réalise qu'expliquer les choses — les expliquer calmement, rationnellement — ne fonctionne pas, il s'accorde une pause sur la question. Ses parents refusent de croire qu'il va mal ; soit. Il va très bien. Il ronge son frein et fixe ses notes en se mordant les lèvres. Après tout, ils ont peut-être raison. Qui sait.
• (il sait ; il se connaît)
• (il s'entend penser, il a l'habitude, il sait que quelque chose ne va pas)
• À la décharge de son entourage, il aurait très bien pu avoir tort. Il en aurait été ravi, même — haut les cœurs, tout va bien. Que la vie reprenne son cours, et cessons donc de parler de cet épisode embarrassant.
• Malheureusement, comme toute bonne histoire, la sienne nécessite une saine dose d'ironie tragique. Chose qu'il pourra accepter ; mais bien plus tard.
• Sur le moment, c'est toujours plus terrible à admettre.
• Il n'y a pas cinq stages au deuil pour rien.
Ces choses-là prennent du temps.

• Au bout d'un an, force est de constater que problème il y a.
Enfin.
• Ce qui au début passait pour une exagération de la part d'un jeune homme trop passionné devient au fil du temps une dégradation facile à constater. Il aura fallu de longs mois pour que son entourage se rende compte d'une évidence qui jusque-là l'aura laissé impuissant et frustré ; à son cœur et corps défendant, il leur en veut.
• On ne l'a pas cru. Il avait raison, et on ne l'a pas cru.
• L'injustice lui chasse l'air des poumons. Ça fait mal, et il ne peut rien contre ça.
• Personne ne pouvait jurer que non, il ne réfléchissait plus aussi bien qu'avant. Les pertes de mémoire, en revanche, sont difficiles à ignorer. Impossibles, même, au bout d'un moment.
• Tête en l'air, soit : il pouvait lui arriver de ne pas être à l'heure, ou de se frapper le front après s'être soudain souvenu qu'il avait autre chose de prévu à tel moment.
• Mais les oublis se font systématique. Il doit tout noter, sans exception, au risque dans le cas contraire de ne jamais s'en rappeler. Ou pas à temps.
• 1887 marque la première année où João Maria oublie un anniversaire. Plusieurs fois de suite dans la même semaine.
• Il faut le lui rappeler constamment. Ses parents pensent qu'il se fiche d'eux.
• D'un autre côté, ça ne lui ressemble pas.
• Et c'est vrai qu'il a des difficultés d'apprentissage, en ce moment. Ses professeurs s'inquiètent.
• Alors ses parents aussi.
• On l'envoie voir des docteurs ; on lui prescrit ceci, cela. Du repos, surtout. Il doit s'être trop donné, s'être fatigué. Il a besoin de reprendre des forces, voilà tout.
• Il n'est pas d'accord. Ni avec le semblant de diagnostique, ni avec le remède.
• Il refuse de s'y plier.
• Ses parents lèvent les bras au ciel lorsqu'il décide de plutôt chercher ce dont il souffre. Il va empirer les choses ! C'est ridicule. Il perd son temps et se fait du mal. Ça les inquiète.
• Mais João est borné. Impossible de lui faire entendre raison.
• Ne rien trouver de concluant le ralentit un peu.
• Il soupire et accepte de rester tranquille.
• Un temps, au moins.

• En novembre 1887, João Maria, qui s'est pris de passion pour les plans de la Tour Eiffel — une beauté sans pareille, qu'il doit absolument voir de ses yeux nus un jour — constate sans vraiment le vouloir qu'il met bien plus de temps qu'avant à aller d'un point A à un point B.
• Plus lent. Plus maladroit.
• Un bien mauvais présage, il en a peur.
• Yeux rivés sur quelques nuages, feuilles en main, il remet son chapeau en place et soupire.
• Quelque part, il a commencé à faire son deuil. Il n'est pas stupide ; fait confiance à son instinct. S'il sent que quelque chose ne va pas, alors c'est que quelque chose ne va pas.
• Le mal est subtil. Pernicieux. Il sent ses facultés s'étioler ; comme si un fil s'était pris dans un engrenage et que le mouvement perpétuel venait en détisser toute la structure, doucement mais sûrement.
• Image fascinante, s'il en est. Un peu moins sachant que la métaphore implique la détérioration de son pauvre cerveau — mais on fait avec ce qu'on a, et il n'est pas homme (garçon) à se plaindre bien longtemps. Au moins son cas est-il intéressant à observer.
• Il regrette de ne pas pouvoir être extérieur à la scène. Si ça continue comme ça, il craint de ne pas être en capacité de se rendre compte de grand chose d'ici quelques années.
• Une perspective tragique, pour celui qui aurait aimé voir le monde changer, mais ah.
C'est la vie, comme on dit à Paris.

• Et effectivement. C'est la vie.

• L'inquiétude des parents de João va croissante ; la sienne, sans raison apparente, prend tranquillement le chemin inverse.
• Les symptômes progressent lentement. Ils empirent, soit, mais sans assez de violence pour pousser les médecins à hurler à la mort en clamant leur patient perdu. Il évite donc aussi des solutions un peu trop radicales pour plaire à qui que ce soit.
• Personne ne sait ce qu'il a ; ça ne semble pas mortel, mais allez savoir. Il pourrait se réveiller un jour avec une fièvre terrible et ne pas s'en relever.
• Il leur fait poliment savoir que ça pourrait arriver à n'importe qui, et n'a aucun rapport avec ses capacités sur le déclin, mais ça ne rassure personne.
• Etrangement.
• Le point positif est que ses relations restent inchangées : il peut continuer à discuter avec ses amis, sortir, voir du monde. Il n'est ni seul, ni isolé, ni abandonné. Il peine à suivre des conversations trop complexes, ce qui a le don de grandement chagriner ses connaissances les plus intellectuels, mais ils ne lui en tiennent pas rigueur. Au contraire : ils le plaignent, et se font un plaisir de l'aider lorsqu'il ne se sent plus capable d'aller plus loin sur certaines questions.
• Dans son monde, il y a de la compassion et de l'entraide pour dix. Suffisamment pour le laisser optimiste et heureux de sa chance. Après tout, il en a. Ce serait mentir que de le dire malheureux ou infortuné.
• Même si, certes, la situation l'est. Malheureuse.
• Toujours est-il qu'il rassure ses parents, leur clame que son état n'a pas empiré depuis un moment, et fait de son mieux pour minimiser les symptômes physiques. En dehors d'une lenteur que lui seul a sans doute remarqué, des problèmes de mémoire et de quelques pertes d'intérêt qu'il cautionne difficilement, mais avec lesquelles il doit composer, il n'y a rien de flagrant. Aucune de ses afflictions ne nécessite de grands efforts pour être cachées ; il ne peut pas faire semblant d'aller bien, mais il peut les empêcher de se ruiner la santé et le porte-monnaie pour tenter de le faire aller mieux.
• Il est en vie. N'est pas alité. Que demande le peuple ?
• Le peuple demande vérité et justice, semble-t-il — très chic, très français, mais il n'est pas d'humeur à discuter des volontés changeantes du brésilien moyen. Groupe dont font définitivement partie ses parents, à voir la manière dont ils plissent les yeux en le regardant.
Grand Dieu — il va bien. Un peu de foi en lui, que le diable.
• L'année 1888 bat son plein et lui, il marche ; parle ; mange. Satisfaits de voir qu'il ne va probablement pas tomber raide mort au premier angle de couloir, ses parents décident de le laisser un peu plus tranquille. Ce qui ne veut pas dire qu'il a le droit de faire n'importe quoi pour autant, bien sûr — qui sait ce qui pourrait arriver. Il doit rester prudent. On l'a vu tomber plus que de mesure, ces derniers temps, et l'inquiétude les a rendus méfiants.
• Ils remarquent tout. Même des choses sans importance ni rapport avec sa condition.
• Fatigué mais bienveillant, João les laisse veiller sur lui tout en s'échappant vivre sa vie dès qu'il le peut. Il regarde, expérimente, observe, apprend. Les limites ne sont plus aussi vastes qu'avant, mais qu'à cela ne tienne. Il est plein de ressources, et ne compte pas laisser
la frustration et le désespoir gagner sur le reste.
• Optimisme, s'il vous plaît.
• Si des hommes peuvent construire à Paris une tour immense et stable en deux ans, alors lui peut bien survivre avec quelques capacités en moins. Au moins un temps.
• Il ne compte pas rester en vie suffisamment longtemps pour devenir un légume, merci bien. Il a encore un peu de respect pour sa personne.
• Pensée tragique pour un jeune homme de dix-sept ans, mais hélas il doit bien y réfléchir. Il vieillit avant l'heure. Pauvre de lui.

• Le temps passe. Maître Gims n'est pas encore né, mais il chante dans le fond.
• Être dans un contre-la-montre constant contre, eh bien, le Dieu cruel qui a décidé de le rendre plus idiot à la seconde pour l'empêcher de découvrir les secrets de l'humanité (une hypothèse parfaitement sensé, excusez-le) rend les priorités de João Maria un brin différente de celles des garçons de son âge.
• Il vit en condamné, concrètement.
• Le mariage lui sort de la tête aussi vite qu'il y est entré ; avec le temps et l'aggravation toujours subtile de ses symptômes, il cesse de se questionner sur un futur métier.
• Il n'en aura probablement pas l'utilité.
• Probablement.
• Ses amis les plus proches sont au courant de ses intentions, mais ils ne diront jamais rien à personne. Ils comprennent l'importance pour João d'être parfaitement capable et maître de lui-même ; de choisir.
• Oh, il a mené l'enquête. Il a peut-être du mal à rester concentré et de plus en plus de difficultés à exprimer sa pensée, mais il n'est pas encore sénile. Une brève étude de sa famille lui apprend que si ses parents vont bien — pour l'instant —, son arrière-grand-père a pu avoir des symptômes similaires.
• Il était âgé, certes. Mais ça ne veut rien dire.
• Et son grand-père n'a rien eu, soit — mais il est mort jeune, et...
• Et peu importe, vraiment.
• Le fait est qu'il refuse de devenir impotent et de ne plus distinguer la gauche de la droite, pourvu que ce soit une possibilité. Il sait que ses parents s'occuperaient de lui, et l'idée d'être coincé dans un corps à l'esprit défaillant l'insupporte.
• Là encore, ce n'est pas une question d'ego. C'est une question de décence et de préférence. Il veut vivre pleinement ; rester entre quatre murs, oublier tout et n'importe quoi, ne plus réussir à traduire sa pensée en mots, ne plus réussir à penser tout court, ce n'est pas l'idée qu'il se fait d'une vie valant la peine d'être vécue.
• Quand João Maria a une idée en tête, impossible de l'en décrocher ; c'est bien connu.

• Et, tel Dutch van der Linde ou Otto von Bismarck, il a.
• TOUJOURS.
• UN PLAN.

• Son plan, en l'occurrence, est mis en marche de la plus GLORIEUSE des façons en mars 1889.
• Il aura demandé plusieurs mois de préparation, ainsi que la complicité de plusieurs amis à la fois excités et inquiets, mais il ne recule pas. Il est sûr de lui, un peu désinhibé ces derniers temps, et prêt à essuyer un échec s'il le faut.
• Il n'a rien à perdre, après tout.
• Après une crise de tremblements en fin d'année qui aura terrifié ses parents et poussé les docteurs à lui prescrire, en plus de repos, un nouveau régime alimentaire et des exercices très précis dont il n'a que faire, il est d'autant plus décidé à sauter à pieds joints dans l'inconnu.
• On ne vit qu'une fois. Et lui n'a pas vraiment le temps de faire dans la finesse.
• Alors il embrasse ses parents, passe une semaine à étouffer gentiment ses sœurs et à aller d'un ami à l'autre pour profiter d'eux au maximum, et s'enfuit.
• Aussi simple que ça.
• Il part de chez lui avec quelques affaires, de l'argent, un mot rempli d'amour et d'humour à l'attention de sa famille, et prend le premier bateau pour la France.
• Il s'attend presque à se faire arrêter en chemin. A ce que quelque chose tourne mal. A faire une crise sur le chemin.
• Mais non.
• Il arrive sur le bateau, salue les deux amis venus lui dire au-revoir, puis le bateau part.
• Et lui avec.

• Le voyage est long et lui suffisamment surexcité pour le rendre encore plus long, mais il survit.
• Il n'a même pas le mal de mer. Qui l'eut cru.
• Il passe donc son temps sur le bateau à ennuyer les autres passagers, à oublier où il dort, à pondérer la question, à se souvenir et à maudire son sens de l'orientation quand il se retrouve invariablement de l'autre côté du bateau sans faire exprès.
• Certains des passagers doivent vouloir le jeter par-dessus bord au bout du dixième monologue sur la Tour Eiffel et ce brave Gustave, mais personne ne va au bout de l'idée.
• Grand bien leur en fasse.
• Il trouve tout de même quelques oreilles attentives avec qui discuter de ce qui sera exposé à Paris ; ça l'aide à passer le temps, et à moins fixer l'horizon en se demandant s'il a fait le bon choix.
• Parce que la question ne se pose pas.
• Evidemment, qu'il a fait le bon choix.

• Arrivé en France, il est de retour entre les transports pour arriver jusqu'à la capitale. Il parle peu français, mais suffisamment pour réussir à donner des instructions basiques. Il a noté tout ce dont il avait besoin dans un carnet, puisque sa mémoire n'est guère fiable. Quand on ne peut pas compter sur soi-même, n'est-ce pas.
• Il n'est pas là pour l'ouverture de l'exposition, mais arrive peu après.
• Et Dieu qu'il est ravi.
• Il y passe quelques-uns des meilleurs moments de sa vie. Rien ni personne n'est à l'abri de ses exclamations émerveillées et des gants qu'il veut poser sur absolument tout et n'importe quoi ; de la Tour Eiffel (ah, amour de sa vie) à la galerie des Machines et jusqu'au palais de l'Industrie, il met les pieds absolument partout.
• Il y a du bruit, de la lumière, du monde, des rires et une effervescence comme jamais il n'en a vue ailleurs. Et peu importe qu'il n'y comprenne rien ; la présence de touristes de tous les horizons l'aide à passer merveilleusement inaperçu.
• Jamais il ne s'est senti autant à sa place. C'est prodigieux.
• Et encore.
• Il pèse ses mots.
• Impossible pour lui de décrire ce qu'il ressent durant les longues semaines où il arpente chaque partie de l'exposition en long, en large et en travers. C'est quelque chose qui se ressent ; qui se vit. Ça ne saurait s'expliquer.
• Il prend tout de même le temps de tenter l'expérience dans les quelques lettres qu'il envoie à sa famille et à ses amis proches. Peut-être qu'ils en tireront une partie de la joie qu'il ressent en ce moment ; allez savoir.
• On peut rêver.

• Et puisque tout bon rêve est rendu merveilleux par son côté éphémère, il faut aussi savoir se réveiller.

• Durant son séjour, João se découvre une légère difficulté à la marche. Là encore, comme le reste de ses symptômes physiques, rien de bien méchant.
• C'est suffisant malgré tout pour le faire soupirer et regarder le monde d'un autre œil, une fois en haut de la tour.
• Si cette exposition avait eu lieu quelques années plus tôt, et que par miracle il avait pu s'y rendre, il aurait eu tant de choses à en retirer. Aujourd'hui, il sait que s'il n'oublie pas la moitié de ce qui s'y est passé d'ici deux semaines, il sera chanceux.
• La mélancolie l'emporte.
• Accoudée près de lui, une jeune femme se met à lui faire la conversation en français. Il n'a aucune idée de ce qu'elle lui raconte, mais répond avec enthousiasme (et une bonne touche d'ironie) dans sa langue natale ; et quand son fiancé arrive lui passer un bras protecteur autour de la taille, ils ne s'en trouvent pas plus fâchés.
• Ils sont tous deux de très bonne compagnie. Le dialogue n'est pas évident, pour sûr, mais ils se débrouillent. L'homme est artiste, et si son amie mime avec la grâce d'un nouveau-né maladroit, ils réussissent à converser malgré tout.
• Rien d'incroyable. Rien qui sorte vraiment de l'ordinaire, pour sûr.
• Mais ils se revoient plusieurs jours de suite, toujours au même endroit, et João en tire une certaine forme de paix intérieure.
• Il ne pourrait pas expliquer pourquoi ; c'est juste comme ça. S'il avait besoin d'un point final, non pas pour justifier sa décision mais pour donner à ses derniers jours une touche de joie, de couleur, de heureux hasard, alors ces deux étrangers remplissent leur rôle à merveille.
• Il est venu, il a vécu ; il a vaincu.
• Dix-huit ans, ce n'est pas grand chose, mais c'est déjà plus que beaucoup. Il est honoré.
• Alors bien sûr, il pourrait encore choisir de revenir chez lui ; voire de rester à Paris, pourquoi pas. Il pourrait se dire qu'avec de la chance, la maladie n'ira pas en empirant. Qu'il se trouvera une femme, aura des enfants, découvrira de grandes choses. Pourra voler, un jour. Communiquer à travers de longues distances. Voir les astres.
• Ce serait être optimiste, selon beaucoup, et il comprend leur point de vue. La vie est Tout. La vie est Absolu.
• Mais ce ne serait pas être raisonnable.
• Ce serait nier l'évidence. Se bander les yeux. Il ne juge aucunement quiconque à sa place choisirait d'attendre et de voir dans quel sens le vent tourne ; quelque part, il est admiratif. Risquer son intégrité, une partie de soi si fondamentale qu'on ne s'imagine pas vivre autrement, c'est courageux.
• Lui ne peut pas.
• S'il doit mourir (et il mourra), alors il veut mourir entier. En l'honneur du petit garçon qui revenait les genoux couvert d'égratignures parce qu'il n'avait peur de rien ; de l'adolescent qui émerveillait son entourage par son agilité d'esprit et sa facilité déconcertante à démonter les plus complexes des problèmes un par un.
• Il a dû passer des semaines et des semaines allongé ou assis, à écouter des médecins lui dire de prendre soin de lui. À voir ses parents s'inquiéter. À devoir rassurer ses sœurs, qui n'y comprenaient rien — parce qu'après tout, jusqu'aux crises de convulsions, il avait l'air d'aller bien.
• Personne ne peut comprendre le déchirement qu'il a ressenti en fixant une feuille remplie de ses notes, la tête vide, incapable de comprendre comment il a pu un jour en arriver à cette conclusion.
• Ces mots venaient de lui. La réflexion était la sienne.
• Et il était incapable de la reproduire.
• Un jour, peut-être, il ne se rendrait même plus compte de ce qu'il avait perdu. Comment se résigner à un sort pareil ?
• Il a eu une belle vie. Une bonne famille. Une bonne éducation. De bonnes expériences.
• Il est heureux. N'a pas peur de mourir.
• Ça lui suffit.


João Maria Carvalho Galhardo ▬ « The man that couldn't run » 210421065304162466
     
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« Requiescat in pace »
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Aether
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