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Mngwa
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Mngwa

En bref

Féminin
Pseudo : Sköll.
Messages : 12

Mngwa ▬ « So I can stay okay » Empty Mngwa ▬ « So I can stay okay »

Dim 31 Jan 2016, 16:25



Don't you speak
over my voice
I will return from
the shadows

And I'll bleed in your bed
Turn it red

Like the ground outside your window
Prénom : Mngwa.
Surnom : Mantra, Deildegast, Nundo, Nun.
Sexe :
Âge effectif : 15 ans.
Âge apparent : La vingtaine.
Orientation sexuelle : Homo A.
Groupe : Daemon.
Langues parlées : Elle comprend un peu le français, les langues scandinaves et certaines langues africaines. Elle connaît quelques mots éparses.
Métier actuel : Couturière, créatrice de poupées et peluches.

Casier Judiciaire


▬ Péché capital principal :
▬ Péché capital secondaire :


Physique



• 1m96.
• Les cheveux tombant jusqu’à la poitrine, sans vraie épaisseur, raides, entre le rouge sombre et le magenta.
• Ses yeux sont d’un joli bleu pâle. Timides et fuyants.
• Pâlotte sans ressembler à un cadavre, la peau prompte à rosir. Aux endroits où elle est à nu, cela dit.
• En effet, elle se couvre, à partir des coudes d’une part, et de la taille aux genoux de l’autre, d’une épaisse fourrure marbrée de gris et de brun glacé de différentes nuances.
• Très douce au toucher, elle recouvre également l’intégralité de ses mains. Pattes, pour être plus exacts, car chez Mngwa, les avant-bras s’élargissent pour former de larges pattes pelucheuses couronnées de griffes longues et redoutablement acérées.
• Ces dernières semblent plus minérales que kératinisées. Très dures, tranchantes comme des rasoirs, elles ont la couleur de l’obsidienne sans ses reflets.
• Ses jambes quant à elles, font tout l’inverse de ses bras. A mi-cuisses, sa fourrure s’éclaircit pour laisser place à de la chair à nouveau, mais visiblement plus rigide qu’ailleurs, et qui se prolonge vite dans cette même armure noire à l’aspect entre l’os et le marbre. A partir des genoux, ses jambes – longilignes et d’une longueur affolante – s’amincissent progressivement jusqu’à atteindre une telle finesse qu’on se demande comment Mngwa réussir à tenir en équilibre dessus.
• Les deux jolis sabots noirs, étroits et ciselés, séparés en deux parties (avant et arrière), fendus à l’avant et frangés d’un blanc minéral, aident sans doute à l’entreprise.
• Mais il va de soi qu’ainsi équipée, Mngwa se retrouve encombrée de partout dans la vie de tous les jours.
• Elle qui n’est déjà pas très adroite de nature, peine à manœuvrer ses longues pattes de girafe sans perdre l’équilibre ou rentrer dans les choses ou les gens ; et pour ce qui est de se servir de ses mains, n’en parlons pas.
• Le moindre exercice de précision impliquant ses dix doigts réclame un trésor de précautions et une délicatesse qu’elle n’est, au quotidien et tout spécialement en public, pas en mesure de fournir. C’est une catastrophe.
• Lorsqu’elle est toute seule, ça va, pourtant. Elle ne tremble pas ; fait preuve d’une délicatesse extrême et d’une agilité rare. C’est très joli à regarder.
• Beaucoup de choses se passent mieux lorsqu’elle est toute seule, on ne va pas se le cacher.
• Sinon elle fait tout tomber, griffe tout, casse tout, se cogne dans tout, c’est l’enfer.
• Pour ne rien arranger à l’affaire, Mngwa est aussi pourvue par la nature (ou Aether, qui est sadique pour ce qu’on en sait) de deux paires de cornes dont l’une ne l’aide clairement pas à améliorer ses relations avec le mobilier et les bâtiments de manière générale.
• La fautive en question est droite, pointue, et perpendiculaire à son crâne. Légèrement recourbée à ses extrémités. D’un très joli gris minéral, proche du marbre, mais malheureusement beaucoup trop longue pour les portes du commun des mortels. Et sachant qu’elle pourrait facilement embrocher quelqu’un avec…
• Bref. L’autre est plus inoffensive, quoique toujours massive, se contentant de partir de devant la première pour s’enrouler sur elle-même autour, vers l’arrière. Ces cornes sont moins lourdes qu’il n’y paraît – heureusement – et ciselées de motifs presque réguliers, sur toute leur longueur pour les enroulées, à la base uniquement pour les droites.
• Pour finir, chacune de ses vertèbres dorsales est marquée d'une petite épine dorsale conique, gris clair, semblable à de l'os ou de la corne, du bas de sa nuque jusqu'à la chute de ses reins.
• De par sa taille – interminable – Mngwa a un côté imposant, qu’amplifient la présence de ses cornes et celle de ses pattes, ainsi que les vêtements larges qu’elle aime à porter. Mais son allure générale donne aussi une perturbante impression de fragilité, due à la finesse excessive de ses membres et de sa taille. L’ensemble est oxymorique, pas si bancal, presque harmonieux dans son improbabilité, et c’est étonnant.
• Impossible pour elle de passer inaperçu, et pourtant on sent qu’elle essaie. A éviter les regards, baisser la tête, se faufiler dans les coins, ou se cacher, carrément. Elle fait tous les efforts du monde pour qu’on ne la regarde pas. Qu’on ne l’entende pas. Une petite souris, avec un trou caché pas loin. Ça ne marche pas, mais-
Shhht.


Caractère



• Mngwa ne parle pas. Elle bouge peu. Elle s’exprime le moins possible. Elle aimerait aussi bien ne pas être là.
• Ne seraient sa stature et sa maladresse, elle est si calme, placide, silencieuse, qu’on pourrait facilement oublier sa présence. C’est qu’elle fait des efforts pour se cacher, en plus de ça.
• Elle est curieuse, pourtant. Elle observe tout, de son coin. Ses yeux sont grands ouverts. Si elle osait parler aux autres, elle aurait plein de questions à poser.
• C’est une vraie éponge, elle retient tout.
• Mais voilà, les autres, elle ne sait pas bien par quel bout les prendre. Elle s’embrouille. Bloque. Ne sait pas quoi dire.
• Terriblement timide, Mngwa s’exprime mal et le sait, alors elle ne le fait pas, tout simplement.
• Un peu lente, un peu bizarre, elle a un tas d’idées farfelues – voire délirantes – qui n’aident en rien à son intégration à la société.
• Au point que le contact de l’autre lui fait peur, tout simplement. Il lui fait perdre ses moyens.
• Et puis Mngwa, elle est toute douce. Toute fragile. Elle ne sait pas répondre, elle ne sait pas se défendre. Contre quoi que ce soit.
• Elle sait juste baisser les yeux, rentrer la tête dans les épaules. S’en aller, dès que c’est possible. C’est tout.
• Quelque part, avec des armes pareilles, tant mieux.
• On ne voudrait pas la voir s’énerver, n’est-ce pas.
• Et elle est un peu instable, la petite.
• Alors mieux vaut la laisser dans son coin, au fond. Elle y est bien.
• Elle a une franche tendance à apprécier davantage la compagnie du mobilier que celle de ses pairs, par ailleurs.
• Son estime d’elle-même est enterrée sous le plancher des vaches. Elle n’en a jamais eu.

• Elle n’aime pas sortir de chez elle. Elle n’aime pas côtoyer les autres gens. Elle aime être toute seule dans une maison fermée, qu’elle connaît par cœur, où elle peut s’adonner en silence à des activités calmes et qui lui font plaisir.
• Coudre. Cuisiner. Faire du thé. Observer la nature par sa fenêtre. Elle prend son temps, et ça lui prend toute sa journée.
• Elle a aussi la mauvaise habitude de garder et d’entasser les choses. Certaines pièces chez elle sont tragiquement encombrées.
• Qu’est-ce qu’elle y peut, si elle aime les jolies choses.
• Les portemanteaux la fascinent. Les poignées de porte aussi, et les heurtoirs. Les mécaniques.
• Elle est un peu possessive vis-à-vis de ses affaires et n’aime pas trop qu’on y touche ou qu’on les regarde. Elle n’aime pas trop partager.
• Pareil pour les gens auxquels elle s'attache, d'ailleurs. Mngwa a quelques mauvaises habitudes, et celles d'accepter qu'on la traite mal ou d'aller dans cette direction n'est pas la moindre.
• Un peu égoïste, mais sans arrière-pensées, elle peine à penser aux autres avant elle-même. Elle est empathique, donc regrette et souffre terriblement d'infliger du mal à quelqu'un, mais ne comprend pas facilement comment elle en est arrivée là, et recommence donc fatalement.
• Parfois elle peut accorder bien plus d'attention à un objet qu'à une personne, au point que cela en devienne insultant, mais c'est un détail.
• Facilement obsessionnelle ou dépendante affectivement.
• Elle peut aussi expérimenter des sautes d'humeur ou des accès de frayeur ou de paranoïa apparemment injustifiées.
• Quelques peurs apparemment sans objet la taraudent ; certaines constantes, comme la peur du noir. D’autres impromptues. Qui vont et viennent. La hantent un peu, pour le plaisir, avant de disparaître.
• Tout cela dans la plus grande des discrétions.


Histoire





« O quam sancta, quam serena,
quam benigma, quam amoena,
O castitatis lilium »
K.K & Y.K



...


...




• L'une des rares choses que Mngwa n'a pas gardée gravée en mémoire, c'est son lieu d'apparition.  
• Elle se souvient des couleurs, des bruits, du contact d'autres personnes qui l'effleurent ou qui la heurtent, mais tout est plutôt flou. Elle se souvient d'avoir erré, un peu effrayée, mais surtout déboussolée et absente.
• Lorsqu'enfin elle finit par s'emmêler dans ses pattes et se casser la figure à la suite d'une collision dans une rue pavée, un gentil daemon la relève, la couvre et l'emmène à l'administration.
• Toutes les formalités sont un peu floues pour elle, mais elle se souvient qu'il était là pour l'aider lorsqu'elle peinait à répondre et s'exprimer.
• On lui explique, on l'habille, on épingle une petite plaque à son revers, et puis elle se retrouve toute seule à sa propre porte.

• Très vite, Mngwa se sent seule, perdue, effrayée même, toute seule dans sa grande maison vide. Elle n'ose pas sortir, et ne sait pas quoi faire d'elle-même.
• Alors quand le daemon qui l'a aidée la première fois revient la voir et l'invite chez elle, elle n'hésite pas et le suit partout comme un petit poussin.
• William Jabberwock – c'est ainsi qu'il se présente – est un excentrique haut de gamme qui se produit au théâtre en tant que magicien et montreur de curiosités.
• Willy est de ces gens dont le métier traduit parfaitement la personnalité. Collectionneur, maniaque, obssessionnel, extraverti, il aime être entouré, aimé, admiré, et sa maison est pleine d'objets et de gens curieux, et toujours animée. Le passage est fréquent.
• Très vite, il invite Mngwa de manière plus permanente. Plusieurs de ses amis ont déjà fait leur nid dans sa maison, d'autres vont et viennent.
• Elle s'entend avec certains, dont la lamia du coin, Herschel, très amoureuse de leur hôte. D'autres l'ignorent poliment, quelques-uns la taquinent, mais comme Willy est adorable avec elle (et qu'elle ne sait pas se défendre), Mngwa laisse couler.
• Et puis, ce n'est pas bien grave. Tout le monde s'entend bien.
• Tout le monde est bien, là.
• Tout le monde se câline, c'est adorable.

• A un certain degré de câlins, Mngwa trouve ça beaucoup moins adorable.
• Mais Willy lui tapote la tête en riant et lui disant qu'elle n'est pas un bébé, alors elle se laisse faire.
• Sois sage.
• Assieds-toi un peu plus à droite.
• Comment va ma mignonne petite chose aujourd'hui ?

• Jamais physiquement maltraitée, uniquement cajolée et aimée, Mngwa évolue parmi la société de son protecteur pendant plusieurs années.
• Elle fait joli en silence là où il veut, quand il veut, obéit à tout sans rechigner, se recroqueville de plus en plus sous les petites piques et remarques amusées, les moqueries, les vilaines plaisanteries, les regards de pitié, d'indifférence ou de concupiscence.
• Se laisse déplacer, enfermer, poser ailleurs, tourner, habiller.
• Guette le moindre de ses mouvements, désirs, humeurs, inquiète au coeur, malheureuse comme les pierres sans s'en rendre compte ni savoir pourquoi.
• Willy charge Herschel de lui apprendre la couture, chose qu'elle adore ; cela prend du temps et des trésors de patience. Mais Mngwa est difficile à décourager.
• Il lui trouve un petit emploi de couturière en ville, pour que personne ne se demande si on ne la garde pas enterrée sous une grosse pierre quelque part.
• L'encourage à s'occuper de sa maison à elle, de temps en temps. A marcher en ville.
• Chut.

• De toute façon, les rares fois où Mngwa tente d'exprimer son désaccord sur un sujet ou un autre, on l'ignore. Alors celui-ci finit juste par se résorber et disparaître.
• Pendant une période, le daemon chez qui elle vit se fait à la fois plus tendre et possessif avec sa protégée ; se l'approprie, la cajole, la rudoie ou la gâte, lui impose encore davantage sa volonté et son esthétique, la met dans son lit pour tout et rien, quand et comme il lui plaît.
• Puis il s'en lasse et arrête.
• Mais Willy a beaucoup d'amis. Eux ne se lassent pas.
• Soudain délaissée et persuadée d'avoir fait quelque chose de mal, Mngwa se raccroche à lui et fait tout pour lui plaire, y compris accomplir les quatre volontés de ses visiteurs.
• C'est une mauvaise période qui commence.
• Willy est de mauvaise humeur de plus en plus souvent. Il devient sec, cassant, joueur, méchant avec tout le monde sans signes avant-coureurs. Les moments de tendresse et de complicité peinent à compenser les autres.
• Des objets volent. Des claques aussi.
• Plusieurs visiteurs font du mal à ses protégés sans qu'il ne les repenne.
• Ces derniers l'énervent facilement.
Tout l'énerve facilement.
• Mngwa rase les murs. Se recroqueville la nuit pour qu'on ne la voie pas. Se cache dans les pièces pour qu'on l'oublie, mais elle ne sort toujours pas.
• Elle ne sait ni quoi faire d'autre, ni prendre de décisions seules, ni où aller sinon.
• Elle ne pense même pas à rentrer dans sa propre maison.

• Les choses ne font qu'empirer pendant un temps, et certains de ses camarades s'en vont en douce, jusqu'à ce que Mngwa et une autre soient violemment abusées par quelques amis de leur hôte, et qu'Herschel en ait assez.
• La daemon met tout le monde dehors, se dispute violemment avec Willy qui la met à la porte, et part porter plainte officiellement.
• Après cela et une période de démélées entre les colocataires officieux, Willy et l'administration, le propriétaire des lieux et plusieurs de ses amis écopent d'ordonnances restrictives envers Mngwa, Herschel et d'autres, et ils sont tous renvoyés chez eux.
• Herschel se claquemure et ne sort plus de chez elle. Mngwa se retrouve toute seule.

• Difficilement, elle apprend à vivre seule, justement.
• Cela prend du temps. Certaines habitudes restent ancrées, dans sa tête comme dans ses gestes et son quotidien.
• Elle continue à créer des peluches, poupées, à rapiécer des vêtements. Lorsqu'elle s'en sent le courage, elle finit par sortir de chez elle, se promener au centre-ville, adresser timidement la parole aux commerçants qui acceptent de l'écouter.
• Elle trouve quelques partenariats, peut ainsi vendre, prendre des commandes et se faire un peu d'argent.
• Acheter des choses, rencontrer des gens.
• Elle se met à acheter sur des coups de tête et à accumuler.
• Elle reste chez elle la plupart du temps : les autres lui font toujours un peu peur.
• Mais petit à petit, elle se fait un nid, se sent au moins bien chez elle.
• Il y a beaucoup de choses curieuses, beaucoup de choses jolies, qui sentent bon, qui sont douces au toucher ou agréables à entendre, et Mngwa vit pour toutes ces petites choses.
• Elle n'a toujours que peu de relations, et elle se cache, et elle titube, mais peu importe. L'existence en devient à peu près agréable.




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Félicitation

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MNGWA MON PETIT POUSSIN TOUT PETIT. baby girl, baby QAQ

Bon, j'avais dit personne de plus d'1m70 en 2021, mais. Je vais devoir accorder la grâce aux prochains. Ils y peuvent rien s'ils on 1m50 de jambes. C'est dur à vivre, déjà, on va pas en plus les shame par-dessus le marché. Pauvres bouts de chou B'(

J'ai vu UNE faute genre ("sans qu'il ne les repenne") et ça doit être tout. Sinon ce ne sont plus des fautes, je les ajoute au dico et au whtv truc de grammaire. Les descriptions sont aIIGHT, le casier aussi (très lourd casier pour les daemon, oui, les risques que vous fassiez des conneries sont IMMENSES et doivent être notés). Ses pattes sont illégalement longues et on la laisse pas seule dans un magasin de porcelaine, mais sinon elle est parfaite. Cornes au top. Jolies griffes. Fourrure sympa. Peut servir de porte-manteau ou de déco d'intérieure si elle vient te rendre visite. Adaptée aux abats-jours. Option silence sou awkward small-talk. Y'a tout à aimer chez cette petite QAQ

BON WILLY WONKA PAR CONTRE IL VA CALMER SES OVAIRES ET SON HAREM STP (dixit l'employé qui s'est chargé de gérer les plaintes le concernant, tout-à-fait) (on est très pro dans la police et l'administration asphodélienne). Ca va pas dU ToUt Mon ChEri. Après on peut plus voir les gens et on se retrouve fiché ET DES MNGWA SONT TOUTES TRAUMATISEES. SHAME ON YOU. SHAME ON YOUR ABSENT FAMILY. SHAME ON YOUR COW. SHAME ON YOUR  w i  f e. (ça aussi c'est ce que l'employé lui a dit) ((non))
Meanwhile on peut enrouler Mngwa dans du papier bulle et la jeter dans dix plaids et lui balancer de la  laine pour qu'elle apprenne à faire des petites baleines. Ensuite on accroche les petites baleines à ses cornes et on empale des boules de laine au bout pour être sûr qu'elle empale rien d'autre à la place. and t h e n

perfection  Mngwa ▬ « So I can stay okay » 909046188

En route mauvaise troupe.

Tu peux dès à présent recenser ton métier et demander une maison pour t'en faire un petit nid douillet. Tu peux également créer ton sujet de liens. Ton numéro va t'être attribué sous peu, YEEHAW, et tu vas être intégrée à ton groupe dans l'instant.

dolly baby  Mngwa ▬ « So I can stay okay » 1614271194

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