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Pandemonium
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Pandemonium

En bref

Pseudo : ZAD
Messages : 17


Pandemonium

« Green, black and blue
make the colors in the sky »


I.D
Prénom : Pandemonium
Surnom : Pan. Pandie. Panda
Âge apparent : 16, 17 ans
Âge effectif : 18 ans
Orientation sexuelle : Homosexuelle
Groupe : Daemon

Métier actuel :
Travailler ? Uh. Non merci, c'est tout sauf amusant. Je veux explorer le monde dans ses moindres recoins, flâner et me divertir ; pas me mettre au service des autres. Je sais évidemment me montrer généreuse à l'occasion, rendre service aux gens, mais si c'est souvent de bon cœur que je viens en aide à ceux de ma race, je n'oublie jamais une dette humaine. Vendez-moi votre âme.

Arme :
Guillotine. C'est le nom affectueux que j'ai donné à mon grand couperet au manche doré, que j'ai appris à manier avec habilité - et être ambidextre aide beaucoup.

D.I


Casier judiciaire
▬ Péché capital principal :
▬ Péché capital secondaire :


Physique

J'aime me décrire comme une tache de couleur au milieu d'un monde terne ; grâce à ma chevelure blonde et lisse dans un premier temps, épais méli-mélo doré m'arrivant au niveau des aisselles et finissant souvent en couettes tout aussi désordonnées. Grâce au bleu de mes yeux ensuite, seconde couleur à ma palette, et comme si ce n'était pas suffisant, mes mirettes ont tendance à scintiller dans l'ombre, à briller dans la nuit - elles m'offrent même une relativement bonne vision dans les ténèbres. Au bleu de mes cornes, aussi. Cornes situées sur mon front, recourbées et sacrément solides. Je les trouve très belles, en tout cas, je me demande même si, comme le plumage coloré de certains oiseaux, leur teinte si particulière n'est pas un outil de séduction. Ah, arrête de rire, elles attirent vraiment l'attention, même au sein des daemon !
J'en suis fière.

Pour rester dans le thème des coloris inhabituels, mes ongles sont naturellement noirs, petits onyx kératineux qui savent eux aussi attirer l’œil ; ce qui semble être le propre de tous ces détails, pas assez nombreux à mon goût, qui me différencient des humains.

Je suis malheureusement considérée comme un bébé par mes ainés, ces daemon plus âgés, à cause de mon jeune âge combiné à mon minois d'adolescente ; et force est de constater que mesurer un mètre soixante, même si je n'en suis pas complexée pour un sou, joue aussi en ma défaveur. J'ai au moins la chance d'avoir des courbes, que j'ose même qualifier de jolies, ce qui m'évite un tas d'autres comparaisons à une enfant ; parce que s'il y a bien une chose qui m'ennuie, c'est qu'on insiste sur le fait que je sois encore une bleue - et accessoirement que ça se voit sur mes cornes.

J'ai encore des tas de choses à dire, sur mon poids plume, ma douce peau blanche, mon petit nez ou encore mes mains fines ; je pourrais t’assommer de détails, te faire savoir ce que j'aime ou ce que je déteste chez moi mais je vais me contenter de t'éclairer sur mes habitudes vestimentaires. J'affectionne le noir, parce que je pense que ça met mes coloris naturels en valeur, mais je sais m'accommoder d'autres nuances, d'autres couleurs ; tout comme je porte robes, pantalons et autres shorts même si j'ai une grosse préférence pour les jupes, que je combine avec toute sorte de hauts. J'aime la diversité en matière de vêtements, diversité dont seuls les daemon savent pleinement profiter, ce qui me pousse à vouloir en posséder un maximum, à en en emprunter, voir échanger, et je me fiche bien de l'avis des autres sur mon apparence : si ce que je vois dans le miroir me plaît, c'est suffisant.


Mental

Je suis une daemon assez difficile à cerner, un peu paradoxale ; une demoiselle calme au physique suggérant douceur et délicatesse mais qui sait se montrer forte, brutale si nécessaire, qui n'a pas peur de se salir les mains. J'ai aussi l'air d'une fille sérieuse, sans doute à cause de mon flegme apparent et de ma retenue en matière d'émotions. Je suis loin d'être inexpressive et me voir sourire, grimacer ou verser une larme n'a rien d'un évènement rare à célébrer, c'est juste que j'évite sanglots et éclats de rire assourdissants. Quoi qu'il en soit, même si je sais me montrer sérieuse et mature, je sais aussi me comporter comme une gamine capricieuse, comme une enfant qu'un rien amuse - et m'amuser est ma seule vocation.

Je suis une machine à bêtises, à idées folles ; veux vivre de nouvelles expériences, découvrir des tas de choses, sur ce monde mais aussi sur ses habitants. J'ai même tendance, sociable comme je suis, alors que je peux paraître froide au premier abord, à entraîner du monde dans mes aventures, peu importe le danger, même si ces dernières se terminent dans les griffes des gardiens - avec ou sans préméditation. Je me met à bâiller en cas d'ennuis, préfère même dormir à ne rien faire, ne rien faire d'intéressant.
J'ai besoin de m'amuser.

Je considère les autres daemon comme ma famille, comme mes frères et soeurs, même s'il m'arrive de me montrer hostile envers certains d'entre eux, qui s'avèrent être pénibles ; parce que même si nous sommes tous différents à notre manière, au final, nous sommes similaires, nés sur ces terres, de rien ni personne. Je me sens moins seule à leurs côtés, me sens à l'aise et me montre même plus expressive en leur présence - chose qui se produit moins souvent avec les humains.

Je n'ai rien contre l'humanité en elle-même et son monde d'origine me fascine, c'est juste que mon expérience m'a appris à me montrer méfiante envers ses représentants, dont les réactions vis à vis des daemon sont nombreuses mais aussi très différentes ; allant de la crainte à la haine, de l'indifférence à l'amusement. Je vais souvent les embêter, joue avec eux autant que je me joue d'eux, en aime autant que j'en déteste - je n'ai en tout cas rien contre le fait de m'en faire de bons amis s'ils savent se montrer sympathiques avec moi.

Quoi d'autre.. ?
J'ai un bon fond. Je crois. Je sais me montrer calculatrice, opportuniste ; sais donner dans la comédie ou le mensonge au besoin mais ce n'est jamais pour faire intentionnellement du mal aux autres - jamais sans être dans une colère noire. Je ne trouve rien d'amusant dans le malheur des autres, même si j'ai un peu de mal avec les notions de bien et de mal comme les humains l'entendent - je ne vois encore une fois rien de mal à emmener mes nouveaux amis dans des aventures suicidaires. Je me sens même totalement démunie face à une crise de larmes, ait tendance à fuir les histoires tristes, fuir mon propre chagrin si il ose montrer le bout de son nez.
Fuir vers le rire ou dans le monde du sommeil.

Je continuerais volontiers de me décrire, essayer en tout cas, vous lister des tas de défauts ou qualités, vous révéler ma faiblesse face aux sourires des demoiselles et aux compliments mais au final, se décrire sois-même est assez difficile.

Si vous voulez vraiment me connaître, passez du temps avec moi et faites vous votre propre opinion.


Memories in the Rain

Ploc... Ploc... Ploc...

« Mmh... »

Froid. Je me réveille, émerge doucement, bombardée de goûtes d'eau venues du ciel. J'ouvre un œil et observe ce dernier, allongée sur le dos au milieu d'une ruelle. Ciel. Ruelle. Mots. J'aime les mots. Je lève les mains vers le ciel, sens l'eau venir s'écraser sur ma peau avec une intensité croissante, intriguée.

« Pluie... »

Je m'amusais bien mais en une fraction de seconde, la bruine se transforme en déluge, me force à me me lever, à maladroitement tenter de tenir sur mes jambes et fuir vers le cul de sac, vers un tas d'encombrants et autres gravats recouvert d'une vieille bâche salvatrice. Je suis désormais assise sur un fauteuil en lambeaux, emmitouflée dans ma toile trouée, à écouter le vent hurler, fixer l'eau venue du ciel ; à aider cette dernier à inonder le monde avec mes larmes. Je suis terrorisée et déboussolée, n'ai aucune idée de l'endroit où je me trouve, aucune idée de qui je suis, ce que je suis.

Je retrouve néanmoins le sourire au bout d'un moment.
Je viens de réaliser.
J'existe.
Ploc... Ploc... Ploc...

L'averse s'arrête et, à l'instar des autres habitants, je sors de mon trou ; vais me balader dans les rues, trottine ici et là avant de sauter dans une grande flaque d'eau, comme une enfant, éclaboussant les malheureux passants qui ne se privent pas de me crier leur mécontentement. Je m'en fiche ! Je suis heureuse. Heureuse de m'être réveillée il y a six mois, d'avoir encore tant de choses à découvrir sur le monde. Je m'enfuis sans demander mon reste et me met à mijoter ma prochaine bêtise mais un binoclard noiraud affolé me tire de mes réflexions, sans doute un nouveau venu. Je m'en vais donc à sa rencontre, curieuse, mais le bonhomme devient blanc comme un linge à la vue de mes cornes.

« Démone ! »

Humf. J'en ai assez de me faire traiter de démone à tous les coins de rue, je suis une daemon puis j'ai un nom comme tout le monde. Ah ! Non. J'oubliais. J'aimerais en avoir un mais comment trouver le bon ? Un vrai casse-tête. Je refuse de subir tous ces surnoms ridicules, ces gamine et autres hey toi jusqu'à la fin des temps !

« C'est... On est vraiment... P... Pandemonium ?! »

Mmh ? Je suis Pandemonium ? Je m'avance vers lui, intéressée, mais il recule au même rythme et en toute honnêteté, savoir qu'un humain a peur de moi m'amuse énormément.

« Pandemonium ? »

Il lâche un cri de terreur aigu, comme si le son de ma voix était le présage de terribles évènements. Il me craint, fufufu. Pandemonium, ce mot inconnu de mon dictionnaire, semble aussi le mettre dans tous ses états. Pandemonium. Joli. Je commence à bien aimer ce mot et finalement, si les humains frissonnent en l'entendant, je peux en faire mon nom ! Ils arrêteront enfin de se moquer de moi et de me regarder de travers, ils arrêteront de m'embêter et m'engueuler.

Je suis la terrible Pandemonium.
Tremblez, humains.
Tremblez !
« Panda ? »

Non.

« T'es une espèce de géranium, quoi ? »

Non !

« C'est mignon ! »

Non !!

Vous étiez censé me craindre, pas me trouver mignonne ou me traiter de fleur ! Je vous boude, tiens. J'ai des choses bien plus intéressantes à faire qu'à vous écouter radoter sur votre monde, à vous écouter parler de vos...

« Tain man, ma xbox me manque. »

Xbox ? Je tends l'oreille, joues gonflées comme celles d'un hamster, brûlant à nouveau de curiosité, d'une curiosité qui ne sera jamais satisfaite. Je suis lasse d'imaginer toutes ces choses en sachant que je n'en verrai jamais en vrai.

« Nous, de mon temps, gamin, on s'amusait avec un bâton et un cerceau, on avait pas vos ixeboques et vos manettes. »

Exactement, demi-portion ! Même si c'est bizarre de voir un enfant traiter un jeune homme de gamin, le môme en question a tout à fait raison : c'est amusant les bâtons. Nous aussi on a des bâtons. Pas besoin de votre lune ou de votre soleil, de vos manettes et de vos box, encore moins de vos parents ou de votre internet.
Nous, on a des bâtons.
Des tas de bâtons.
« Comment tu es arrivé ici, Damien ? »

Je me demande comment font les humains pour venir vivre chez nous, comment ils arrivent à traverser la barrière qui sépare nos deux mondes ; me demande surtout si le chemin inverse est possible.

« Pour la millième fois, je m'appelle Richard. »

J'ai entendu dire que sur Terre, certaines personnes essayaient d'invoquer des démons, alors même si je suis une daemon, peut-être que si j'arrivais à leur faire passer le message, je pourrais être invoquée, moi aussi, pour voir toutes ces choses merveilleuses dont les humains parlent sans arrêt.

« D'accord, d'accord, mais tu as fais comment ? »

Je reviendrais ici avec les bras chargés de cadeaux et la tête débordant de souvenirs, je pourrais voyager d'un monde à l'autre et emmener mes frères et soeurs avec moi.

« J'ai rien fait. Je suis mort, c'est tout. »

Tu n'a rien fait ou tu es mort ? Il faut savoir, binoclard. Je veux bien mourir mais si tu restes aussi mystérieux, je ne saurai jamais comment faire. Tu étais plus drôle quand tu avais peur de moi.

« Ça veut dire quoi, être mort ? »

Il me lance un regard noir, soupire avant de me répondre, comme si ce mot éveillait de mauvais souvenirs, comme si il m'en voulait d'avoir demandé. J'ai encore fais une bêtise ?

« C'est quand tu arrêtes d'exister. »

Uh. T'es bête. Tu es là, devant moi. Tu existes. Tu vas arrêter de te payer ma tête, oui ? J'ai besoin de réponses sérieuses, moi ! Face à mon air légèrement dubitatif, il se relève et commence à s'éloigner.

« Tu m'énerves. »

Humf. Je me relève, époussette vite fait mon arrière train et me met à le suivre en trottinant derrière lui. Tu ne m'échapperas pas aussi facilement, monsieur lunettes.

« Jérôme ? »

J'arrive enfin à son niveau.

« C'EST RICHARD. »

Au lieu d'insister sur sa mort, expérience apparemment désagréable, je vais le divertir, l'emmener avec moi dans une de mes aventures.

« Tu veux venir t'amuser avec moi ? »
« Non ! »

Il accélère mais moi aussi, ce qui semble l'énerver au plus haut point.

« Si. On va embêter les gardiens. »
« Arrête de me suivre ! Aaaah ! »

Il accélère encore, se met même à courir mais je tiens bon.
J'ai de bonnes jambes.

Je m'avance dans les rues de la ville mains enfournées dans les poches, visiblement contrariée, le visage couvert de pansements, signes de ma récente déconfiture. Je me suis aventurée du côté des hors limites, qui ne cessent de m'intriguer, mais, évidemment, mon intrusion a attiré l'attention d'un Garde et ce dernier m'a botté l'arrière train en espérant me faire comprendre une bonne fois pour toute que je n'avais rien à faire là - il devait être de bonne humeur sans quoi je me serais réveillée en ville directement.

J'en ai assez de me faire chasser de cette zone si mystérieuse, je veux savoir ce qui se cache là bas, savoir pourquoi cette chose ou ce lieu a besoin d'être protégé des humains comme des daemons.

J'ai entendu de nombreuses théories sur le sujet mais celle qui a vraiment réussi à titiller mon imagination parle d'une terre nommée paradis, une ville blanche et lumineuse où tout le monde est heureux. J'ai des doutes sur l'existence d'un tel endroit mais j'ai trouvé cette vision des choses assez mignonne. Je crois, moi, que j'y trouverai des réponses à mes questions, des informations sur ce que je suis, qui je suis ; même si c'est bien moins poétique et sans doute tout aussi naïf. J'en ai en tout cas assez de ne pas pouvoir me promener où je veux. Je suis tout de même ici chez moi, ils ne pourront pas m'en empêcher éternellement.

J'irai là-bas un jour.
« Nathan. »
« Richard. »

Je viens lui tourner autour, mains dans le dos, mais le regard qu'il me lance me fait froid dans le dos, me donne presque envie de rebrousser chemin même si je n'en montre rien. Il me semble en colère, alors, bien évidemment, la meilleure chose à faire est de le dérider, de tenter encore une fois de l'emmener avec moi dans mes délires d'adolescente, dans mes aventures d'enfant.

« Suis-moi, je vais te montrer... »

Le monde s'emballe, se met soudainement à tournoyer autour de moi et, lorsque j'arrive enfin à retrouver mes esprits, je me rends compte que je suis assise à même le sol, que je suis tombée en arrière. Je laisse ma main venir se balader sur mon nez douloureux, mon regard passant du sang qui recouvre désormais mes doigts au poing fermé de mon interlocuteur ; fixe ce dernier, fou de rage, avec un air totalement inexpressif alors que, paradoxalement, des tas de questions se bousculent à l'intérieur de ma tête.

« Je vous hais, toi et ton monde de merde ! »

Je ne sais quoi répondre à cette affirmation, ne sais comment réagir face aux larmes qui commencent à rouler le long de ses joues.

« J'en ai marre de cette putain de prison ! J'en ai marre, t'entends ?! J'veux rentrer chez moi et voir ma famille ! »

Je baisse la tête, sans un mot, bien incapable de le regarder dans les yeux ; parce que je vois très bien où il veut en venir, même si j'essaie de ne pas y penser. Prison ? Oui, sans doute. Il a tout perdu en arrivant ici, est privé de sa liberté, privé de toutes les merveilles de son monde. Je me suis tout de même demandée, parfois, si les humains n'étaient pas envoyés ici en guise de punition mais étant donné que je suis née ici, pourquoi suis-je punie moi aussi ? Je n'ai rien fait de mal, mon existence est-elle vraiment un péché ?

« J'en ai assez de voir ta sale gueule de démone, tu me dégoûtes alors arrête de me harceler sans arrêt ! »

J'aimais bien l'embêter mais il va me falloir trouver une autre occupation maintenant. Je suis surprise, surprise parce que je n'imaginais pas qu'il me détestait, je pensais même qu'au fond, même s'il refusait de l'avouer, il m'aimait bien ; surprise parce que je n'aurais jamais cru qu'il faisait partie de ces gens que ma race entière dérangent, ce qui me pousse encore une fois à me sentir comme une étrangère sur mes propres terres. Il est en colère, mais moi aussi. J'aimerais, du moins. Je voudrais lui faire mal comme il me fait mal mais rien à faire, mon corps refuse de bouger, mes lèvres refusent de s'ouvrir et je me contente de fixer le sol comme une idiote, sans rien montrer de ce que je ressens en ce moment, sans afficher la moindre émotion.

Je le laisse s'en aller, définitivement.
J'ai sommeil.

Ploc... Ploc... Ploc...
Je fixe l'horizon, perchée sur un toit, assistant ainsi au lever d'un nouveau jour avec le rouge au joues, des idées plein la tête et le cœur battant. Je vais sans doute aller embêter les nouveaux venus, vagabonder au centre ville et faire la tournée des bars, m'aventurer du côté de la forêt et me prendre pour une princesse charmante en route pour sauver sa demoiselle en détresse des griffes d'un dragon ; chasser les idées noires et m'amuser, encore et encore.

« Fiche moi le camp, sale môme ! »

J'arrête de balancer mes jambes dans le vide et me penche en avant, remarque le torse d'un homme à moitié endormi s'échapper de la fenêtre, sans doute un vieux grincheux que j'ai sorti de son sommeil en sautillant sur le toit de sa maison. Je me lève immédiatement, tel un animal farouche, et m'élance dans le vide et atterrit sur le toit des habitations d'en face. J'effectue un demi-tour sur le bout des orteils, juste pour le plaisir de voir la tête ahurie de ce bonhomme, qui ne sait probablement que se balader sur les toitures est une de mes activités favorites, avant de m'élancer droit vers de nouvelles aventures, sourire aux lèvres, réveillant ainsi les infortunés habitants du dessous, les invitant à profiter eux aussi de cette nouvelle journée.

Prêt ou non, univers, me voilà !



Pandemonium ▬ « I'm not a Geranium » 140612102804483943          Pandemonium ▬ « I'm not a Geranium » 140612102804483943
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Âge :
Comment avez-vous connu ce forum : J'ai suivi une paire de maracas jusqu'ici!
Des commentaires : J'aime les citrons.

Pandemonium
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Pandemonium

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Pseudo : ZAD
Messages : 17


Aussi incroyable que ça puisse paraître... j'ai fini !

Je m'excuse d'avoir mis autant de temps, j'ai dû faire face à des soucis de santé, petits en ce qui me concerne, assez gros en ce qui concerne d'autres membres de ma famille, et entre les visites à l'hosto et d'autres imprévus ici et là, on va dire que ça n'a pas avancé très vite ._.

J'avoue, c'est bâclé, mais bon, je ne voulais pas prendre encore une semaine avant d'enfin finir la fiche D8

Voilà voilà o/

Aether
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Aether

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Féminin
Pseudo : Nii'
Messages : 430


Félicitation
Vous êtes officiellement validée ♥ J'adore n'avoir jamais rien à redire sur les fiches, ici, c'est juste trop la classe. Donc ! Pandi Panda est très mignonne (pas frapper), je n'ai rien à redire sur son physique - mention spéciale pour les cornes et les yeux, elle peut devenir amie avec certains autres autochtones - et encore moins sur son mental ; tout est nickel, c'est parfait ♥ Son histoire était bien rédigée et les problématiques très bien axées, je trouve, même si tu dis avoir bâclé o/ C'est donc avec plaisir que je te valide !

Tu peux dès à présent recenser ton avatar, ton métier et demander une maison pour t'en faire un petit nid douillet. Tu peux également poster une demande de RP ou créer ton sujet de liens. Ton numéro va t'être attribué sous peu et tu vas être intégrée à ton groupe dans l'instant.

PLOC PLOC ♥

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