▬ Crimes commis :
▬ Circonstances du décès :
▬ Péché capital principal :
▬ Péché capital secondaire :
▬ Rapport à l'alcool :
▬ Rapport aux drogues :
▬ Addictions :
▬ Mauvaises attitudes récurrentes :
▬ A été victime :

• Milan est BEAU. Et il le sait.
• Pas juste beau. Magnifique. Canon. Super sexy.
• Il a vérifié dans le miroir et auprès des autres, il sait qu’il est objectivement un super beau gosse.
• (pas modeste, mais y’a toujours des risques que ça aille avec, hein)
• On va commencer niveau carrure, parce que pour le coup il ne se démarque pas des autres.
• Il ne fait pas 1m90 pour 120 kg de muscles. Du haut de son mètre 74, il est même en-dessous de la moyenne nationale.
• Il a une silhouette plutôt banale, de belles proportions sans entrer dans l’excès. Pas musclé, mais ferme.
• Il fait du sport sans aller à la salle tous les jours, quoi. Courir, c’est bien ; soulever de la fonte, beaucoup moins.
• Et puis il se préfère un minimum fin que bardé de muscles – préférence personnelle qu’il assume pleinement.
• (pas comme si ses gènes lui auraient permis d’être IMMENSE ET SEC, anyway, mais –)
• Il prend soin de lui et de sa santé. C’est important.
• Ca se sent dans sa poigne.
• Et s'il ne fait pas de grands gestes à tout va pour appuyer ses propos, il n'en reste pas moins direct voire un peu brute quand il veut.
• Paroles ou gestes.
• On pousse les portes le pied le premier, chez lui.
• Pour le décrire plus en détails…
• Sa peau est foncée. Pas noire, mais pas simplement bronzée non plus.
• On aurait du mal à lui coller une ethnie précise sur la figure, tout simplement parce qu’il est très métissé.
• Ca se voit. Pas le plus commun d’où il vient, d’où sa fierté toute particulière dans sa différence.
• Ce n’était pas le même refrain étant enfant, mais l’adulte a su tirer parti du petit « wow » que sa couleur peut inspirer.
• Aidé, certes, par ses traits fins et son grain de peau sans imperfections.
• Milan ne prend pas juste soin de son corps. Son visage aussi y a droit – il ne manquerait plus qu’il se néglige, tiens.
• Un subtil mélange de chance à la loterie génétique et d’efforts acharnés.
• Il tient à en jeter. Il aime son apparence, il aime se highfive avec son miroir, et personne n’a le droit de juger c’est une passion très saine.
• Au moins, il s’aime. On peut pas tous en dire autant.
• Ses cheveux très bruns, en boucles serrées, ne sont jamais lissés (et puis quoi encore, pour les abîmer ?) mais toujours impeccablement coiffés. Jamais longs, mais jamais trop courts non plus.
• Quant à ses yeux en amande, comme sa peau et ses cheveux, ils sont foncés.
• Très rarement imberbe, il préfère avoir une petite barbe soigneusement taillée.
• On pourrait dire de Milan qu’il a quand même une sacrée resting bitch face. Il a pas franchement l’air aimable, quoi.
• Et quand il sourit à demi comme il en a l’habitude, un chouia condescendant.
• Même en privé, il n’est pas très expressif. Il n’a plus l’air condescendant ou fâché, surtout quand il rit, mais on le voit très peu écarquiller les yeux ou s’exclamer. Question de tempérament.
• Et en ce qui concerne sa voix, c’est pareil. S’il force dessus, c’est qu’il est VRAIMENT énervé et c’est pas courant.
• Pas monotone, mais posée. Ni très grave, ni aigüe.
• Question vêtements, Milan est classe. Stylé. Pas le genre de mec à porter un t-shirt et un jogging.
• Plutôt le genre à aller faire ses courses en costard, qu’il soit huit heures du matin ou six heures du soir, en week-end comme en semaine.
• Peu d’accessoires, souvent discrets ; aucun tatouage, mais un piercing à l’oreille gauche.

• Milan a une bonne estime de lui-même. Voilà. On va pas passer par quatre chemins, il a zéro complexes, que ce soit par rapport à son physique ou au reste.
• Il se trouve beau, intelligent, raisonné, bref ; un homme qui s’aime.
• En même temps, il a de bonnes raisons d’être un peu imbu de sa personne.
• Il est intelligent. Il a toujours eu un esprit vif et réactif, capable de résoudre tous les problèmes qu’on lui mettait sous le nez.
• Qu’ils soient purement théoriques ou demandent un minimum d’inventivité, il s’est toujours bien débrouillé.
• Il sait s’adapter, sait comment réagir, a de la répartie et la sensibilité nécessaire pour ne pas jeter de l’huile sur le feu.
• Milan sait quand l’ouvrir et quand la fermer. Et il a beau être fier et ne pas aimer qu’on marche sur son ego, il ne se mettra jamais en position de faiblesse par pure vanité.
• La provocation marche très mal sur lui. Tendez lui une perche et il s’en saisira pour vous faire tomber à l’eau. Il est pas né de la dernière pluie.
• Alors il ravale, au besoin, mais s’en souviendra.
• Oh, il est rancunier. Ca peut aller loin.
• Analytique, aussi ; même si une décision doit être prise dans la panique, elle doit être un minimum réfléchie.
• Il n’y a rien de pire que l’impulsivité pour lui.
• Au moins quand il s’agit de prendre des décisions – pour le reste, un peu de spontanéité ne fait pas de mal.
• Bref, Milan a la totale maîtrise de ses émotions. Ce n’est pas du tout le genre à s’emporter ou crier.
• Ses colères sont rentrées et jamais explosives.
• Trop s’afficher, c’est donner une occasion aux autres de se glisser à travers les failles (il y en a toujours).
• Et laisser les autres le manipuler, tirer les ficelles, décider pour lui, c’est NON.
• Milan est son propre homme. Le maître de son destin.
• Rien ni personne pour lui dicter sa conduite.
• Attention, il respecte le hiérarchie. Il n’a aucun problème avec l’autorité raisonnée (en général).
• Mais dès qu’on essaye de le pousser d’un côté ou de l’autre, il se braque.
• Si quelqu’un doit manipuler et tenir la carotte, c’est LUI.
• Ca, ça ne le gêne pas. Qui veut la fin veut les moyens, et il sait ce qu’il veut.
• Il est déterminé. Focalisé sur son objectif. Les obstacles, il les abat. Et si ça implique de forcer la main de telle ou telle personne, tant pis.
• Tant que c’est un mal pour un bien…
• On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs.
• Manipulateur, donc. Sûr de lui. Intelligent. Prêt à tout pour parvenir à ses fins et doté d’un sacré sang-froid.
• Milan sait ce qu’il veut et abhorre la lâcheté.
• Et le regard des autres ne lui fait plus rien depuis longtemps déjà.
• A côté de ça, il peut aussi être gentil – ce n’est pas un robot dénué de sentiments. Il peut paraître froid car peu expressif, introverti et globalement mieux seul qu’entouré de gens, mais avec ceux qui sont proches de lui, la donne est différente.
• Evidemment qu’il rit et sourit avec ses amis. Evidemment qu’il peut rire à des blagues stupides et dire je t’aime.
• Il est foncièrement loyal et protecteur, généreux aussi ; il ne rechigne jamais à donner un coup de main ou donner de soi tout court.
• Pas jusqu’au sacrifice ou à l’épuisement, mais il en considère pas ça comme un défaut.
• On ne peut pas prendre soin de ses proches si on ne sait pas prendre soin de soi-même avant.
• C’est dur d’être vraiment proche de lui car il a du mal à s’attacher (pas de traumatisme – c’est juste dans son caractère), mais quand on l’est, on le reste.
• Milan fait confiance à son jugement, et donc à ses proches.
• S’il y a déception, elle n’en est que plus dure et définitive.

« 'Cause honey there's no shame in letting go,
I guess I'll see you at the funeral. »

Noah Kahan, Bury Me

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• Milan naît à Odessa le 6 Mai 2020 dans la joie et le COVID
• Pas que ça ait grande influence sur sa vie, il s’en souvient pas anyway
• Papa est policier, maman conseillère SAV et instagrameuse à ses heures perdues
• (y’a plein de photos de lui honteuses sur la toile en habits accordés à ceux de ses parents mais c’est pas le sujet de cette histoire)
• Ils vivent une belle histoire d’amour jusqu’à ce que son père accepte une mutation à Olynitsk, en plein territoire de guerre civile
• Indépendantistes, etc, grosse ambiance à l’est de l’Ukraine depuis 2014, ON CONNAIT
• Maman suit papa parce qu’elle refuse de mettre autant de kilomètres entre eux, même si elle est pas sereine (c’est un euphémisme)
• Y’a des guns, de l’agitation, c’est dangereux
• Et wow, quelle clairvoyance !! Papa se fait dégommer un an plus tard dans une escarmouche en pleine campagne
• Bon bha retour à Odessa pour le deuil, maman ne reste pas dans cette foutue ville une seconde de plus
• Milan grandit là-bas sans papa, mais avec un beau-père génial qui comble bien l’absence du paternel
• Il lui donne même deux petites sœurs qu’il adore plus que tout
• La vie est belle, pas trop de dramas adolescents, une virée dans les catacombes qui se termine à l’hôpital parce que Milan est CON (non) (c’est la seule bêtise de toute sa carrière, fichez-lui la paix), quelques peines de cœur…
• Bref, une vie standard
• Notre protagoniste étant très engagé, incapable de tenir en place et déterminé à mettre ses pas dans ceux de son père, il décide de devenir policier
• Sa mère fait la gueule, mais c’est compréhensible
• Il gère son job comme un kebabier ses brochettes et dès qu’une opportunité de poste se libère à Olynitsk (joke, y’a TOUJOURS des places libres là-bas) il fout sa candidature sur la table du supérieur avec un entrain suspect
• Oui il rêve d’aller se faire tirer dessus en territoire de guerre civile, un problème ??
• Cadavres de père en fils m’voyez
• Ses supérieurs sont un peu tristes de laisser filer un bon élément mais amen, si ça lui fait plaisir
• Là sa mère fait la gueule au triple, et ils se quittent fâchés
• Il pose ses valises à Olynitsk avec un désir de VENGEANCE
• De bien faire son boulot et empêcher les pro-russes de foutre le bordel, quoi
• Milan est ~PATRIOTE~
• Il aime son pays malgré les blagues racistes qu’il se prend dans la figure
• Honhon très drôle
• Il pète pas des bras, mais qu’est-ce qu’il en a envie
• Oui donc il a adopté un bouledogue français pour lui tenir compagnie dans son appart, vu qu’il pouvait pas emmener son chien encombrant d’Odessa (Viscol QAQ)
• Elle s’appelle Aria et elle est adorable (et surtout elle vit bien dans un appartement en ville, c’est le plus important) (mais elle est adorable)
• Il se fait quelques amis à son job, dont un type excité qui tient absolument à l’inviter à chaque fois que sa copine et lui font des sorties
• (tous les QUATRE JOURS faut pas abuser non plus, Milan en décline le trois quart)
• (wtf)
• Un jour où il accepte de sortir, par pure bonté, il y a des amis de la copine en question
• Parmi eux, une fille en fauteuil roulant toute timide
• Ils sont assis l’un à côté de l’autre, ils parlent, se revoient deux ou trois fois lors d’autres sorties avant de se fréquenter plus assidûment
• Elle le drague avec des origamis et il est complètement wooed, il la demande en mariage (non)
• Milan pose donc Tamara dans l’appartement avec Aria est il est super épanoui au boulot comme dans sa vie personnelle
• (ok, ils emménagent ensemble qu’au bout de trois ans, l’ellipse était pas très claire)
• Milan combat le crime et l’injustice (il déteste l’injustice) et monte doucement en grade
• Le mec est motivé hein, Gotham City a besoin de lui
• Vers 2049/2050, il se débrouille pour forcer la main à un voyou du coin ; y’a deux candidates au poste de maire et parmi les deux y’a une pro-russe
• Ca l’inquiète pas plus que ça vu que la favorite c’est la nationaliste, mais puisqu’un GROS CON décide de la tuer, ça change la done
• Y’a plus que la pro-russe d’assez coriace en lice et il l’a mauvaise
• Il se dit que si elle MEURT ben elle pourra pas se présenter (logique)
• Ou se retrouve dans le coma, il s’en fout mais qu’elle disparaisse
• Vu que c’est pas lui qui va aller foutre une bombe dans sa jolie baraque il envoie le délinquant se charger du sale boulot (avec un collègue et ami avec lui pour surveiller, au cas où)
• Le délinquant explose avec le collègue et la baraque et la fille de la salope, mais pas la salope elle-même
• Milan est atterré
• POURQUOI PERSONNE A PART LUI SAIT FAIRE DU BON BOULOT, ICI ??
• God damnit
• Shi-
• On demande une enquête dans la police, il est pas renvoyé vu qu’on a rien contre lui mais on le surveille, et la pro-russe devient maire
• Là, évidemment, c’est la porte ouverte à tous les débordements venus de l’est
• Milan est pas content (au moins autant que sa mère quand il a décidé de venir faire un harlem shake là où son père est mort)
• Plusieurs de ses collègues décident de démissionner ; lui, il reste
• Il faut bien quelqu’un pour mener cette foutue barque à la dérive
• Pendant qu’il pagaie avec l’ardeur d’un champion olympique, Solomiya arrive le buttslap
• Littéralement. Il en croit pas ses yeux (et ses fesses) et dissocie
• C’est la fille d’un militaire haut-gradé, pro-russe, et elle n’est pas tant engagée en politique qu’une sacrée fille à papa
• Ca clash, Milan la déteste, elle le wink, l’ambiance au travail est DELETERE
• Aussi il devrait totalement rapporter à ses supérieurs qu’une folle le harcèle sexuellement mais il a autre chose à foutre
• Tamara et Aria le câlinent fort quand il rentre à la maison
• C’est que cette ambiance pèse sur ses nerfs, il est pas toujours vivable
• Tamara lui propose de déménager, et il fait la tronche du pug qui se retourne dans le gif
• Elle ne ramène plus le sujet sur le tapis
• Ca commence à aller mieux au boulot quand le père de Solomiya se fait descendre
• Bon ok ça la fout mal dit comme ça, MAIS
• Sans son père pour lui filer carte blanche au boulot, elle se fait un peu secouer
• Milan est pas du genre à pardonner facilement, mais lui aussi il a perdu son père et il se dit que s’il peut s’en faire une alliée, ce serait mieux
• Table rase du passé, ils deviennent amis
• Tamara apprécie moyen et ça tend un peu les relations, mais Milan va pas abandonner ses amis parce qu’elle est jalouse d’une fille
• Ca le blesse un peu, aussi
• Enfin bon, son dévouement croissant pour la cause nationaliste finit de toute façon par briser son couple ; Tamara en a marre de le voir s’épuiser pour ça
• S’ils ne déménagent pas, c’en est fini d’eux, et elle prend les chats avec elle
• DEVINEZ CE QU’IL CHOISIT
• La séparation est douloureuse, et puisque ça fait 11 ans qu’ils étaient ensemble, Milan se sent incroyablement seul
• C’est nouveau pour lui, il kiffe pas
• Et vu que Solomiya le console aussi bien que Shang qui fait des compliments, ça aide pas
• Enfin si, un peu, mais voilà
• Dur
• Il calme sa tristesse en se lançant encore plus corps et âme dans sa cause (oui, c’était possible)
• Les pro-russes ont gagné du terrain pendant le mandat de Krystyna et bonne chance pour s’en débarrasser
• Mais de la volonté, Milan en a à revendre
• Solomiya l’aide, ils arrivent à faire virer des éléments gênants
• Ca va pas changer la face du monde, mais un pas à la fois
• Quand les nationalistes réussissent à reprendre un peu de terrain sur les indépendantistes, ils sautent de joie
• Solomiya l’embrasse dans la folie du moment et lui se dit que why not
• Ce qui est bien avec Milan, c’est qu’on ne risque pas le schéma « sexe » + « il est temps d’être awkward et pas au clair avec nos sentiments pendant deux saisons »
• Tout est mis à plat et ils commencent à sortir ensemble
• Sans le dire, parce que niveau boulot ça la foutrait mal et ils le savent
• Pas la peine qu’on sache par où les prendre pour faire pression
• Ils ont déjà assez de problèmes comme ça
• HELAS leur bonheur est de courte durée parce que les indépendantistes finissent par prendre la ville (avec des armes et tout, ratatata)
• Et là, pas question de rester ici
• Ils fuient, et comme beaucoup de monde, trouvent refuge dans une ville encore sous contrôle Ukrainien
• Milan pourrait se contenter d’y vivre heureux mais BLYAD, IL A PAS FAIT TOUT CA POUR RIEN
• THE WAR IS NOT OVER
• Solomiya est motivée par ses speechs et le suit partout, c’est pas du tout la voix de la raison de Tamara
• Nos deux compères s’engagent donc dans la résistance et sautent dans les tranchées voisines pour aller tirer sur de l’indépendantiste
• Bon c’est pas VERDUN, y’a pas d’obus qui volent, mais les tirs ennemis sont monnaie courante
• Ils passent la majeure partie de leurs temps dans les baraquements construits dans la terre, à essayer d’empêcher les pro-russes de gagner du terrain, de les repousser
• Pas l’existence la plus stable, mais c’est leur choix
• Au moins, ils sont deux
• Ils se motivent et se consolent et s’encouragent