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Blackjack
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Blackjack

En bref

Masculin
Pseudo : Never.
Messages : 270





« No method can apply to me
No system can decide the ending
Without me. »
Prénom : Blackjack.
Surnom : Jack.
Sexe :
Âge effectif : 16 ans.
Âge apparent : ~ 20 ans.
Orientation sexuelle : Asexuel.
Groupe : Daemon.
Langues parlées : Anglais, quelques notions d'Allemand.
Métier actuel : Légende urbaine. Il grimpe à votre fenêtre la nuit et imite le mammouth avec beaucoup de classe.
Casier Judiciaire


▬ Péché capital principal :
▬ Péché capital secondaire :


Physique



• Blackjack a l’air globalement humain – il n’y a guère que ses yeux, sa peau et les cornes qui lui sortent du crâne qui le trahissent.
• Il a une silhouette lambda, un visage banal et tout ce qu’il faut où il faut du point de vue d’un humain ; deux oreilles rondes, un nez, une bouche, deux yeux, deux bras et deux jambes.
• Le hic, c’est que sa peau n’est ni pâle ni diaphane, elle est blanche. Blanche papier d’imprimante, aussi blanche que ses dents ou la faïence d’une tasse à thé. Pas d’écailles, pas de texture étrange, elle est douce et tiède, mais blanche.
• Quant à ses yeux, ils font penser à ceux d’un chat plus qu’autre chose ; dorés, fendus d’une pupille qui s’accommode de la lumière ambiante pour discerner tous les contours, même dans l’obscurité. Blackjack est nyctalope, et évite aisément les murs que les humains se prennent dans le noir. Il ne voit pas parfaitement, et pas tout, mais assez pour ne pas trébucher.
• Il a aussi des cornes oranges, droites et inclinées vers l’arrière, qui dépassent de sa chevelure noire d’encre. Elles ne sont pas très grandes, pas très remarquables, mais impossible de les dissimuler malgré l’épaisseur de ses boucles.
• Alors Daemon au premier coup d’œil. Hélas.
• Jack n’aime pas les Daemon, il n’aime pas ressembler à un Daemon, alors le reste de son apparence a le goût et la couleur d’un adolescent du XX ème ou XXI ème siècle. Il aime les vêtements amples, fuit les matière serrées et ajustées comme la peste. Vestes larges, sweatshirt, t-shirts, pantalons et bottines ou baskets et le tour est joué ; il adore avoir les mains dans les poches et y ranger toutes sortes de trucs utiles. Ou qu’il a trouvés par terre. Ou qu’il aime bien avoir sur lui.
• Ou ses araignées de compagnie. Ca arrive aussi.
• Il adore bouger et cavale partout, il faut que sa garde-robe ne l’entrave pas dans ses mouvements. Ses affaires finissent souvent tachées, déchirées, tout ça parce que monsieur grimpe sur tous les murs à sa portée et escalade tout ce qui peut être escaladé.
• Jack est la moitié du temps en hauteur, l’autre au sol. Asphodèle n’a plus de secrets pour lui depuis les toits.
• C’est qu’il a un sacré équilibre et une fichue souplesse – un vrai chat. Il saute haut, a une détente exceptionnelle, et se faufile dans les trous les plus étroits. Il n’a pas peur de se faire mal, ni de se retrouver coincé.
• Pas claustrophobe pour un sou. Pas peureux non plus.
• Pas à ce niveau-là. C’est un téméraire de la cabriole.
• Sa voix porte loin, a tendance à grimper les décibels à une vitesse record et ne s’enroue jamais. Ni grave ni aigüe, un peu plus hésitante à l’anglais que dans la langue d’Asphodèle, jamais en sourdine non plus. Jack parle et parle et parle et a toujours quelque chose à rajouter à sa montagne de détails d’une importance capitale, détails qu’il souligne par des gestes ouverts et qui peuvent potentiellement éborgner. Dommages collatéraux, oops.
• Du reste, il n’a rien de plus ou de moins qu’un autre, et ça lui va très bien.
Il est la nuit. Personne ne le voit. BOUH.


Caractère



• Blackjack a l’air d’un guignol – une bonne première impression, puisque c’en est effectivement un.
• Il rit trop fort, saute partout, ne tient pas en place, et puisqu’il ne dort pas il a l’air sous caféine à toute heure du jour ou de la nuit.
• Il est trop. Trop tout. Il est dur à fréquenter parce qu’il n’a aucune notion de honte, de limites, et explose toutes celles qu’on essaye de lui faire rentrer dans le crâne.
• Espace vital ? Quoi ? Les gens n’aiment pas avoir un abruti penché en permanence sur leur épaule ?
• Incompréhensible. Scandaleux.
• Le monde a tendance à tourner autour de lui et il a du mal à prendre les particularités des autres en considération.
• Ce qu’il aime fait état de vérité générale jusqu’à preuve du contraire. Et même quand on lui dit « non », il n’obéit pas.
• La raison peut varier aux yeux des autres : soit il est trop bête pour comprendre, soit il s’en fiche. Le narrateur vous informe que c’est la deuxième hypothèse la bonne.
• Jack vit dans l’instant et il vit pour s’amuser. Pas moyen qu’on lui casse l’ambiance, il refuse. Il n’a pas payé pour gérer les problèmes des autres, les larmes, les cris, tout le bordel ; non.
• Il est égoïste et égocentrique. Ca, il ne le nierait pas lui-même.
• Parce que non, monsieur n’est pas bête. Il est même intelligent et observateur.
• Il repère vite les tics et les tocs des gens et lit parfaitement la gêne ou l’ennui sur les visages.
• Il n’a juste pas envie de faire des efforts et de s’adapter. Pour quoi faire ?
• Jack recherche la présence des autres, pas leur amitié. Il est facile à approcher, mais pas à garder.
• Tant pis si on ne l’aime pas. Il y a tellement de gens à Asphodèle, il passe d’une tête à l’autre sans se soucier de revenir.
• Quand il trouve quelqu’un qui le supporte, il fait le boomerang, mais même là, il dresse des murs.
• Pourquoi ? Parce que Blackjack est blessé.
• Profondément.
• Il n’aime pas s’attacher aux autres parce qu’il a peur de les perdre. Et souffrir, c’est pas son truc.
• Donc il fait tout son possible pour se mettre en sécurité et éviter les déconvenues. Il fixe déjà assez le vide en se demandant pourquoi la mort craint, pas besoin d’en rajouter.
• Sa joie est une façade. Jack est quelqu’un de triste à l’intérieur.
• Mélancolique. Pessimiste.
• Pas tout le temps, pas entièrement, mais il grossit sa joie de vivre par 100 pour masquer son anxiété.
• Qui sait. S’il hurle et rit assez, peut-être que ça finira par disparaître.
• Ca fait 10 ans qu’il essaye et se casse la gueule, mais on ne sait jamais.
Demain ce sera la bonne.
• Jack est un clown triste, mais à moins d’être très proche de lui, on ne peut pas le deviner.
• C’est fait pour.


Histoire



« Can't see the forest for the trees,
Heard it plenty of times, but now I know what it means.
If you hold too tight you're bound to lose
The very things you've decided are precious. »


Dead Ends, Radical Face



• Jack se réveille sur un lit de feuilles, complètement nu, en plein cœur de la forêt.
• Il fait sombre, il a froid, il est perdu, et il met un long moment avant d’oser se relever et errer. Coup de chance, il tombe vite sur la civilisation – enfin, sur un Commotus énervé qui lui hurle des trucs qu’il ne comprend pas dessus, lui jette sa veste à la figure et continue de lui crier dessus.
• Le pauvre Jack est complètement paumé tout le long du voyage et manque de s’étaler cornes les premières dans le hall de l’administration, mais parvient en un seul morceau au bureau prévu à cet effet. Le jeune homme qui l’a trouvé et accompagné a jugé bon de rester pour expliquer à l’autre personne pourquoi il est nu et si on pouvait l’habiller ce serait cool merci et un tas d’autres précisions vitales qu’on balaye d’un gentil revers de main.
• Apparemment, recueillir les gens nus et perdus, c’est leur métier. Ils vont faire ce qu’il faut. L’inconnu numéro 1 reste malgré tout le nez dans les papiers de l’inconnu numéro 2 juste au cas où.
• Au bout d’une heure, Jack a été habillé, on lui a attaché un numéro sur la poitrine, et il été déposé devant une grande maison rien qu’à lui. On lui a aussi donné un nom, avec l’aide de l’inconnu numéro 1.
• Blackjack s’appelle Blackjack et sa vie vient de commencer.

• Contrairement à ce que ses yeux plissés et ses mimiques hésitantes du début auraient pu laisser penser, Blackjack s’habitue très vite à marcher, courir, faire la roue et embêter ses voisins. La maison est visitée en trois minutes, le toit investit, et un policier appelé parce qu’il faut le descendre. A part ça, son premier jour se passe plutôt bien.
• Le deuxième aussi. Puis le troisième, et le quatrième.
• Le cinquième, il retombe sur l’humain qui l’a trouvé dans la campagne et emmené jusqu’aux bureaux. Il a un couvercle de casserole en mains et longe le ruban des hors-limites.
• On a vite fait comprendre à Jack que passer derrière le ruban, la barrière ou le mur, c’était non. Un gros non. Sinon, tchack. Il n’a pas bien compris en quoi ça consistait, mais il reste sagement derrière.
• L’autre, lui, il lui fait signe de se taire, et passe derrière le ruban. Jack le regarde disparaître entre les arbres, le pas sûr mais discret et son couvercle de casserole en bouclier. Il reste là à attendre, sans trop savoir pourquoi, jusqu’à ce qu’une injure colorée ne brise le silence.
• L’inconnu numéro 1 ne revient pas. Il hausse les épaules et reprend sa balade.
• Le lendemain, il le trouve en train d’insulter un policier. Puis le jour d’après, en train de repeindre un mur en grognant. Le type lui demande s’il le suit, Jack lui dit que non, il prend le temps de se présenter parce que son travail a l’air de la saouler mais à un point –
• Andrew Hansen. Commotus, à Asphodèle depuis presque un mois, et déjà catégorisé comme emmerdeur professionnel.
• Andrew n’aime ni la forêt, ni le quartier résidentiel, ni même les boulangeries qui sentent bon le pain en centre-ville. Il n’aime rien et a envie de se barrer d’ici le plus vite possible. Pour aller où ? Bonne question. Il veut juste se barrer.
• Step 1, do it, step 2, ???, step 3, PROFIT.
• Ils ne se disent pas grand-chose de plus ce jour-là, mais ils se revoient régulièrement. En deux semaines, ils sont devenus amis. Plus ou moins.
• Plus du côté de Jack, moins du côté d’Andrew, qui ne sait pas s’exprimer autrement que par monosyllabes énervées ou grognements de chien qui a la rage.
• Ca ne dérange pas le Daemon, qui prend vite le pli de le taquiner et le suivre partout où il va.
• Bientôt, Jack passe presque tout son temps libre (et il en a beaucoup – il ne travaille pas) à chercher Andrew, à le trouver, à l’embêter, à parler à ses colocataires, puis à d’autres Commoti et Quieti.
• On ne le voit plus beaucoup du côté des quartiers résidentiels Daemon.

• Ce qui se passe en l’espace de quelques mois seulement est difficile à expliquer pour Jack. Lui qui se sentait à l’aise parmi ses paires est bientôt rebuté par l’idée de passer du temps avec eux.
• Leur apparence ne lui plaît pas. Ce qu’ils ont à dire ou penser non plus. Il préfère de loin les humains, plus drôles, plus intéressants, leurs souvenirs et leur façon de faire et leurs cultures hétéroclites. Andrew est le plus marrant mais les autres ne sont pas en reste, et il passe tout son temps avec eux.
• On lui apprend à s’habiller et rester habillé. A faire du thé. A tricoter. Il n’écoute et n’obéit que la moitié du temps mais il aime être entouré. Il ne peut plus s’en passer.
• Les gens sont une drogue, les humains encore plus.
• Andrew n’aime pas les Daemon et Asphodèle et ça l’influence peut-être (ah !), mais il ne se le dit pas. N’y pense pas. Jack prend la vie comme elle vient et profite de tout ce que son existence a à lui offrir.
• Y compris imiter son meilleur ami dans ses tentatives d’exploration des hors-limites, qui se soldent toujours par un « sauve qui peut » avorté par une faux. Jack et Andrew connaissent par cœur les deux gardes en charge du terrain et qui leur tombent dessus en quelques minutes chrono.
• Et ce n’est pas essayer de balancer des fourchettes sur Kharon qui empêche Andrew de se faire faucher, puis Jack, et les laisser se retrouver devant la salle Nord pour rire de leur mésaventure d’un côté, et insulter les autorités Asphodéliennes de l’autre.
• Oh, ils ont des ennuis. Des amendes à payer. Des travaux d’intérêt général à faire tous les quatre matins. Mais Jack s’amuse follement et Andrew n’en démord pas.

• Andrew est arrivé à Asphodèle sans autres souvenirs que son nom et les plaines du Nebraska où il a vu le jour. Le reste est nébuleux, voire inexistant, et il lui arrive souvent d’essayer de s’y replonger – sans résultats.
• Peut-être que c’est pour combler ce vide que le jeune homme tente de percer [les mystères et les secrets d’Asphodèle] par tous les moyens.
• « Pourquoi y’aurait quelque chose à trouver ? »
• « Y’a TOUJOURS quelque chose à trouver. »
• Les gardes sont louches. Les hors-limites cachent des réponses à des questions qui n’en trouvent pas. Aether est un fumier qui délègue à des psychopathes. On leur cache des choses. On ne leur dit pas tout.
• Jack ne voit pas ce qu’on pourrait leur cacher à part les tendances hypothétiques de Kharon aux froufrous mais soit. Si ça l’amuse.
• Plus le temps passe, plus cette obsession de savoir et de découvrir le met mal à l’aise. Il ne dit rien pour autant et continue de cacher Andrew sous son siège quand il essaye de frauder dans le train.
• Il le suit toujours dans les hors-limites.
• Il le suit aussi quand il commence à poser des questions à droite et à gauche,  à aller voir des gens qui font se hérisser les poils de Jack.
• L’autre type chelou qui barbote toujours avec ses amis dans le lac, là. Il le sent pas. Mais Andrew est CURIEUX et n’en a jamais assez alors il insiste, le traîne, ne le force pas à s’approcher mais Blackjack regarde toujours de loin.
• Il reste à la porte chaque fois qu’il va harceler la vénérable biquette directement chez elle – quand il ne se prend pas un PV avant d’être arrivé à destination.
• Il ne sait pas pourquoi mais il sent qu’il y a des choses qu’il n’a pas envie d’entendre.
• Un instinct de survie, peut-être. Le simple désir de vivre sa petite vie, tranquille, sans embêter personne d’autre que les policiers et les gardes.
• Pourquoi se contenter d’autre chose que d’amendes pour s’être baladé dans les hors-limites et trop peu vêtu en centre-ville ?
• On se le demande.

• Les années passent et suivent le même schéma. Bêtises. Mammouth aux fenêtres. Virées dans les hors-limites. Amendes. Fraude dans le train. Amendes. Andrew a honte de Jack quand il s’étale en pleine rue en imitant l’éléphant.
• Et malgré ça, ils ne se lâchent pas. Même si son meilleur ami ne lui dit plus où il va ni qui il voit, ça ne dérange pas Jack. Il ferme les yeux. S’il peut l’avoir le reste du temps pour partager une tasse de sucre au thé, c’est amplement suffisant.
• Il aime bien Asphodèle quand Andrew est là.
• Jusqu’à ce qu’un jour, Andrew ne soit plus là.

• S’il y a eu des signe avant-coureurs, un avertissement, un coup de trompette, Blackjack ne l’a pas entendu.
• Il n’a rien vu, rien su. Il se rappelle juste qu’il se tenait devant la maison d’Andrew, qu’il était en retard, qu’il a préféré rentrer par la fenêtre que frapper à la porte.
• Sa chambre était vide. Impossible de lui mettre la main dessus. Ses colocataires n’en savaient pas plus.
• « Mais tu sais, y’a des gens qui disparaissent des fois, il paraît »
• « Peut-être qu’ils ressuscitent »
• « Ou alors il était tellement chiant qu’ils l’ont collé à la cave du commissariat, à voir »
• Jack ne sait pas ce que ça veut dire, ressusciter. Il a toujours vécu ici, il n’a aucun endroit auquel « retourner ». Il attend Andrew dans sa chambre toute la journée, mais il ne revient pas.
• Le jour d’après non plus. Et le suivant. Et le suivant.
• Après toute une semaine sans donner signe de vie, il doit se résoudre à l’évidence.

• Andrew n’est plus là.

• Il récupère ses affaires, les range chez lui et n’y touche plus. Pendant un long moment, deux semaines peut-être, il ne sort pas. Fixe le vide. Contemple son existence en se posant trop de questions et pas assez à la fois. Se plante finalement devant les grandes portes vitrées de l’administration, pour faire demi-tour au dernier moment.
• Qu’est-ce qu’il peut demander, hein ? « Où est Andrew » ? « Vous lui avez fait quoi ? » ?
• S’ils avaient la réponse, ou s’ils pouvaient la lui donner, alors elle circulerait depuis longtemps.
• Quelqu’un a emménagé dans la chambre d’Andrew entre temps. Sans son calendrier de compagnie, Jack perd un peu le nord et la notion de temps. Les dates se mélangent.
• Andrew a passé six ans à Asphodèle avant de disparaître. Trois mois après sa disparition, Jack saute le mur des hors-limites tout seul.

• Dix ans passent. Plus personne ne parle d’Andrew, alors Blackjack n’en parle plus non plus.
• C’est plus facile comme ça. Ca fait moins mal. Quand il pense à lui, il se sent seul.
• Alors il évite. Fait l’idiot. Grimpe aux fenêtres. Se fait d’autres amis. S’assoit tout seul sur son lit pour réfléchir. Imite le mammouth. Rit.
• Il y a toujours du mouvement, à Asphodèle, les gens vont et viennent mais viennent plus qu’ils ne s’en vont. Il traîne des curieux dans les hors-limites, les plante là quand il sent que le tranchant de la faux risque de s’abattre sur eux.
• A ce stade, Kharon aurait pu demander une ordonnance restrictive. Ca vire au harcèlement.
• Le temps passe comme il passe depuis toujours.
• Et ce n’est pas parce qu’un garde a été mis KO que les choses vont changer.


Blackjack ▬ « I never could find my way home » 24d110211f1caa6c5e420b30c86f7d81
     
Blackjack ▬ « I never could find my way home » 0cbb507ab7cc35e0bab6a9de1371c8f9
« Requiescat in pace »
Pseudo : Never.
Âge : Momie.
Avatar : Kokonose Haruka (Dark Konoha) ▬ Kagerou Project.
Comment avez-vous connu ce forum :  Je me rappelle de quelqu'un me susurrant l'adresse à l'oreille la nuit... Non, je rigole, j'ai juste écouté cette chanson en boucle et elle m'a menée jusque là (sisi, je vous jure).
Autres : Le nouveau design est parfait.




Blackjack ▬ « I never could find my way home » Ce8ac126e7036e1d7ebe477241cc8093
'Cause I ain't ever had a real home, so what do I know ?:

Aether
- NO DATA -

Aether

En bref

Féminin
Pseudo : Nii'
Messages : 435


Félicitation
Vous êtes officiellement validé ♥ BLACKJACK nrgjfdg,rfd. J'aime vos personnages ok. Ils sont tous merveilleux et illuminent le forum de leur présence (surtout avec leurs yeux, pour la plupart, d'ailleurs.) Donc c'est avec un grand plaisir que je valide ton choupinou ♥ J'espère qu'il va bien s'amuser ici et réussir à devenir une légende urbaine super connue. Ce serait beau. Mention spéciale pour le mammouth, au passage.

Tu peux dès à présent recenser ton avatar, ton métier et demander une maison pour t'en faire un petit nid douillet. Tu peux également poster une demande de RP ou créer ton sujet de liens. Ton numéro va t'être attribué sous peu et tu vas être intégré à ton groupe dans l'instant.

ÉCLATE TOI BIEN. ♥

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