▬ Péché capital principal :
▬ Péché capital secondaire :

• 1m62.
• Même si Ablastine a globalement forme humaine au premier abord, impossible de s'y tromper.
• D'abord parce qu'elle a sur la tête, légère et inclinée vers l'arrière comme un grand chapeau vaporeux, une grande ombrelle attachée à son crâne.
• Ensuite parce qu'elle est transparente.
• Suffisamment trouble pour ne pas pouvoir lire un écriteau lorsqu'elle est devant, mais de pas loin. On lui voit à littéralement à travers, et de partout - sauf à partir du milieu du cou, où l'ensemble s'opacifie suffisamment pour que les os de son crâne ne soient pas à la vue de tous.
• Sa chair est transparente et épaisse, légèrement irisée, un peu plus compacte que ce qui compose les méduses terrestres, plus malléable, élastique, même, que celle des humains. Cela peut être perturbant dès lors qu'on la serre un peu trop fort.
• Son épiderme, à peine visible, est un peu plus clair, et opaque sous certains angles. Il est imberbe, mais souple et doux au toucher, davantage que de la peau humaine. Frais, aussi.
• Parce qu'on lui voit à travers, on peut également voir son squelette, qui - pour un non-initié en tout cas, semble bien humain sous tous rapports. Ses organes, également, sont humains, mais (heureusement) transparents eux aussi. A moins de plisser les yeux dans le but avoué de les distinguer, on les oublie vite.
• Tant qu'elle ne mange pas, donc, il est plutôt facile de les ignorer. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles elle mange peu. Elle boit, par contre, il ne faut pas exagérer.
• Et puis, on lui a suffisamment répété de se couvrir pour qu'au final, au quotidien, sa vue ne soit pas trop perturbante pour autrui.
• A certains détails près, puisqu'Ablastine est une daemon qui tient principalement de la méduse, et le reste de sa personne en témoigne.
• Abla ne pèse rien. A peine plus qu'un pot de gelée grandeur nature. Sa constitution la rend peut-être moins cassable que l'humanoïde lambda, mais définitivement plus sensible aux agressions et petits accidents du quotidien.
• Sa force physique est ridicule. Quasiment absente. En revanche, elle a souvent entendu jalouser sa souplesse naturelle.
• Elle peut changer de couleur, également, plus ou moins consciemment : naturellement légèrement bleutée, ces nuances ne sont jamais très marquées, mais suffisamment pour qu'un œil avisé les remarque.
• Peu de tentacules chez madame, et rien qui ne fasse ne serait-ce que s'approcher de membres utiles dans la vie de tous les jours. L'ombrelle d'Ablastine est bien frangée de quelques filaments, qui ne sont pas mobiles, si fins qu'ils volettent plus qu'autre chose, et en deviendraient presque invisibles. Légèrement luminescents dans l'obscurité, ils peuvent aussi devenir irritants si madame est de mauvaise humeur ou ne fait pas bien attention.
• D’autres pseudo-tentacules, d’une apparence comparable aux bras oraux des méduses terrestres, lui ceignent l'arrière de la taille comme un ensemble de froufrous blanc-bleu, parsemés de quelques nuances de rose et de violet. Ceux-ci ne sont pas irritants, et si peu mobiles qu'elle est à peine capable de les faire onduler par sa propre volonté. Ils sont une parfaite corvée à faire tenir dans des vêtements, et elle n'aime pas les laisser à l'air libre de peur de les accrocher partout ; c'est donc un combat de tous les jours.
• Les seuls « vrais » tentacules d’Abla sont donc quelque part où on ne les remarque pas : sur son crâne.
• Sous son ombrelle. Ses cheveux, en fait.
• Ce qui ressemble à première vue à une cascade de cheveux ondulés aussi pâle que le reste de sa personne n’est en fait pas composée de kératine, mais d’une multitude de filaments qui, tous ensemble, lui constituent une chevelure qu’elle peut bouger à sa guise.
• Sauf que ces « cheveux » restent serrés en une sorte de chignon sur le haut de son crâne la grande majorité du temps pour un tas de raison : ils sont indisciplinés, ils se prennent partout, ils peuvent être urticants, les gens posent des questions et les touchent, et comme ils sont excessivement sensibles, Ablastine déteste ça.
• Punis sur le haut de son crâne, donc. La plupart des gens n’y font pas attention, sauf quand elle décide de faire le show avec (ou est trop excitée pour rester maîtresse d’elle-même et te les envoie dans la figure comme pour un câlin d’extra-terrestre).
• Ils sont frais, ont une texture étrange, différente de tout ce qu’on trouve chez un humain, et paraissent à la fois indifférenciés et innombrables.
• Et elle n’aime pas que ça traîne. Point.
• Sinon Ablastine serait conventionally attractive, si elle n’était pas un tas de gelée. (Un très joli tas de gelée, mais un tas de gelée quand même.) Une taille fine, de belles formes, une poitrine qui attire définitivement l'œil. Pas très corpulente, mais avec de jolis galbes.
• Un visage en cœur sans traits marquants, lisse, agréable à regarder, si l'on arrive à faire abstraction de la transparence. Il y a de quoi perturber : ses yeux le sont autant que le reste, bien que suffisamment foncés - presque noirs - pour ne pas dévoiler tout leur intérieur.
• Elle n'a ni iris ni pupilles, par contre. Il faut s'y habituer.
• Heureusement qu'elle est très expressive physiquement, faute de quoi il serait un peu dur de savoir où regarder - et se fixer sur ses yeux risque rapidement de mettre mal à l'aise.
• Ceci étant, quand bien même il est facile de lire les expressions faciales et corporelles d'Abla, et qu'elle ne se gêne pas pour les exagérer, elle sait aussi faire bonne figure et tout ravaler à l'intérieur. Son physique inhabituel la rend à la fois plus expressive et plus difficile à lire correctement.
• Quelque part, ça l'arrange aussi bien.

• Parce que bon, Abla a tendance à partir au quart de tour et elle aime pas trop ça.
• Attention, pas de problème de dignité ou de courtoisie là-dedans : la vie est trop courte pour ne pas dire ce qu’on pense et ne pas donner un coup de tête au relou d’à-côté quand il est 3h du mat et que plus personne sait se tenir.
• Pourquoi se retenir de hurler de joie au beau milieu de tout ou s’étaler sur les genoux de tout le monde, franchement. Y aurait pas idée.
• Bon, tout ça pour dire qu’Ablastine, on commence à avoir l’idée, a autre chose à faire dans la vie que de s’embarrasser avec les détails.
• Ou les avis des autres.
• Voire même avec le plus élémentaire des respects d’autrui, n’est-ce pas, tant qu’à faire.
• On l’aura deviné, Ablastine, elle est gentille, mais c’est aussi un peu une peste.
• Pas très empathique hors de son cercle proche, elle peut parfois blesser sans comprendre pourquoi et ensuite faire la gueule quand on essaie de lui explique parce que. Ben. C'est pas son problème, quoi.
• A savoir aussi qu'elle n'est réellement gentille qu'avec les gens auxquels elle tient, et qu'elle prend un malin plaisir à titiller les autres là où ça fait mal ou à leur faire de mauvaises blagues.
• Elle n'a pas un trop mauvais fond, mais elle est naturellement sardonique et aime énerver autrui.
• Y a rien à sauver, elle aime juste la tête déconfite des gens ou les faire enrager. C'est euh. Tout.
• Provoquer la jalousie aussi, pourquoi pas.
• Très attachée à son apparence, elle déteste qu'on la critique. Elle a appris à bien les prendre en apparence, mais un reste de manque d'assurance la blesse à chaque fois.
• Abla est fière de son corps, aime qu'on l'aime et qu'on l'admire, qu'on le regarde.
• Au fond, c'est facile de la faire douter d'elle-même - et après elle se transforme en fontaine à émotion parce que si tu la laisses réfléchir deux secondes ben c'est le chaos dans sa tête et plus rien ne va.
• Mais juste au fond.
• Heureusement (ou pas) qu'à part ces quelques moments de faiblesse, elle a pas peur de grand-chose, la petite.
• Enfin, si elle a pas peur de grand-chose c'est surtout qu'elle fonce tête baissée dans les trucs avec colère.
• Elle manque un peu d’imagination et celle qu’elle s’est dégotée vient pas du côté instinct de préservation de la force.
• Là ben again. Elle oublie qu'elle est globalement en mousse.
• Squish squish bébé tu sers à rien on te sort avec deux doigts.
• Mais qu'importe, Abla, elle a du peps, de l’allure et de l’énergie.
• Jamais l’air fatigué, jusqu’au regard dubitatif – parle à ma main mais surtout va te faire voir – à l’insolence active qu’elle maîtrise à la perfection.
• Pétillante, drôle, moqueuse, acerbe, elle a la bougeotte et bon courage pour la maintenir en place sans recourir aux grands moyens.
• Elle déprimera en faisant la roue et jugeant ton fessier s’il le faut.
• Par contre quand elle t'aime c'est à la vie à la mort. Elle aime les relations, quelles qu'elles soient, la promiscuité, la complicité, la chaleur.
• Elle n’hésite pas à te couler dessus et à réclamer.
• aTTeNtioN anD cuDDLes PLEaSE
• SOMEONE IS D Y I N G HERE
• Et POURTANT elle arrive toujours à foutre la merde avec ses relations d'une manière ou d'une autre, et ensuite de faire la gueule, de refuser d'admettre que c'est sa faute ou même d'arrondir les angles pour que la pilule passe mieux.
• Et après elle est triste. Bah oui. C'est con.
• Elle peut rester fâchée LONGTEMPS – juste parce qu’elle ne sait pas comment aller recoller les morceaux.
• Et du coup elle court se refoutre dedans jusqu’au cou.
• Abla manque de discernement, quand elle est énervée. Ou blessée. Ou triste.
• Ce qui arrive régulièrement, on va pas se mentir.
• Pourtant, JAMAIS elle n’admettra que ça ne va pas – elle préfère se jeter d’un pont et se noyer dans la rivière.
• Madame explose régulièrement pour un rien mais madame a sa fierté quand même, pour les trucs plus personnels.
• Elle rigolera et fera une blague débile (ou méchante, ça dépend du public), et partira en courant grimper sur les premiers genoux ou jeter le premier pavé dans la première mare.
• C’est une façon de gérer.
• Mais bon, après elle se roule en boule dans un coin quand elle se retrouve enfin seule, donc à voir si c’est une manière très efficace de gérer.
• Elle fait ce qu’elle peut, ok.
• Son cerveau est pas le plus gros du coin non plus.
• Et pour couronner le tout, son petit cœur fait le papillon autant que sa durée moyenne d’attention.
• Tout ça peut-être juste parce que c'est une petite conne, ou parce que c'est la seule façon qu'elle a trouvé pour vivre avec elle-même parmi les autres.
• Chacun sa technique.

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• La légende ne dit pas si Ablastine est à proprement parler apparue dans la baignoire de la pauvre âme qui la retrouva un beau matin au milieu de sa salle de bain, dans le plus simple appareil.
• Ce que l’on sait en revanche, c’est qu’elle y barbota un petit paquet de jours avant que l’on arrive à l’en déloger.
• C’est que madame, ayant fait de sa première demeure les 10 mètres carrés douillets agrémentés d’un accès illimité à l’eau chaude, décida très vite qu’il n’y avait pas de raison d’en changer.
• En l’occurrence, les concepts du loquet et de la barricade lui vinrent plus vite que celui de la propriété individuelle dans le logement social, ce qui occasionna aux habitants de la maison une semaine compliquée en ce qui concernait l’accès à la salle de bain.
• Après un moment passé à parlementer avec une porte derrière laquelle se planquait en feulant une banshee tentaculaire toute nue, lesdits habitants finirent par dénicher quelque part un représentant de l’administration qui s’en vint diligemment faire son travail.
• (le pauvre.)
• Ce fut, pour ainsi dire, un beau cirque à résoudre.
• Quoiqu’il en soit, Ablastine vécut alors la première d’une longue série d’occurrences l’impliquant elle, enroulée dans un simple drap (ou pas), jetée sur l’épaule de quelqu’un de deux fois plus grand et plus large qu’elle et emmenée de force au doux son de ses hurlements de félin enragé.
• S’il y a bien un truc qu’Abla maîtrise à la perfection, c’est de distraire gratuitement le voisinage.
• Bref, on la traîna littéralement et sans vraie dignité jusqu’à l’administration, où un employé manifestement pas assez payé pour ça l’assit – également de force – sur une chaise et lui expliqua de long en large les us et coutumes et droits et devoirs de l’existence en tant que conscience individuelle – tout cela en la faisant régulièrement rassoir sur sa chaise et en lui rajustant son peignoir qui n’arrêtait pas de glisser.
• Ça marcha relativement sur le moment, moyennement sur le long terme.
• Pour faire court, en six ans, ce fut loin d’être la dernière fois qu’on allait l’assoir sur une chaise ou lui demander de se rhabiller.
• (ça rentre pas bien, comme concept.) (quoi monsieur l’agent on voit rien après tout non ?)
• Fraîchement présentée et « intégrée » à la civilisation, Ablastine fut ainsi balancée dans une maison individuelle par un pauvre gars qui alla ensuite fissa mettre du désinfectant sur ses morsures ; maison dans laquelle elle passa deux bonnes semaines à faire la gueule parce que c’était pas ce qu’elle voulait ce qu’elle voulait c’était l’autre salle de bain.
• Bref.
• Une fois qu’elle eut finit de tirer la tronche et se fut sentie bien seule, notre petite dame transparente brava la porte d’entrée, la rue et les passants, et s’en alla en quête de monde à rencontrer, de monde à embêter, et de trucs pour remplir sa maison.
• Cette grande quête dura quelques bonnes années.
• Chemin faisant, Ablastine rencontra du beau monde, du moins beau monde, roula sur beaucoup d’innocents, défit pas mal de draps, cassa pas mal de vaisselle – intentionnellement ou non – se fit des amis, un honorable tas d’ennemis, et une ou deux paires de Némésis à sa mesure.
• Elle développa une première obsession saine – sauf pour son porte-monnaie, un détail bassement terrestre – pour les chapeaux de toutes sortes et de toutes formes, les plus farfelus tenant d’une main de fer le haut de la tier liste.
• Elle développa également toutes sortes de complexes, parce que dans ce triste monde on peut pas mettre un pied dehors en ayant une tête différente de celle des autres sans se reprendre cette différence dans la figure.
• Il lui fallut pas mal de temps, de relations plus ou moins compliquées, d’engueulades et de mauvais regards à son miroir pour cesser d’être sensible à la moindre remarque sur son apparence.
• (après quoi elle se mettra à surcompenser et deviendra encore plus envahissante qu’avant, donc ne soyez pas trop pressés)
• Le temps passe. Les années s'enchaînent et semblent se répéter.
• Les petits problèmes d’estime d’elle-même n’empêchent pas Ablastine de croquer la vie à pleines dents.
• Comme elle n’a pas d’activité professionnelle, elle a tout le temps du monde, et comme elle câline un peu tous les gens intéressés par elle qui passent – et vu que, malgré l’air offensé de son miroir, elle est pas complètement dégueu non plus – elle collecte aussi rapidement tous les coups de main du monde.
• Elle se fait un peu vaguement entretenir, de loin. Riche que de ses amis, elle fait la fête, s’amuse, et rend la vie de tous ceux qui ne sont pas d’accord avec elle eh bien. Impossible.
• Et comme elle est insupportable il faut la sortir des bars sur l'épaule quand elle est bourrée.
• Elle dégouline sur ses amis pour les remercier – après avoir dessaoulé, parce qu’avant elle leur hurle dessus.
• Bref, ils s’amusent bien.
• Niveau vie professionnelle, c'est pas la folie. Elle essaie plein de trucs, se fait gentiment congédier au bout d'un temps passé à 1) échouer lamentablement à sa tâche, 2) provoquer des conflits irréparables et sanglants avec ses collègues ou 3) régulièrement oublier de se présenter à son poste.
• Niveau vie amoureuse à proprement parler, la panacée n'est pas à portée non plus.
• Elle a bien quelques histoires qui se finissent rapidement et la font bien pleurer. En retour, elle insulte les filles belles telle une Nabila en imper.
• Et les bureaux aiment pas qu'elle joue les exhibs avec son imper.
• Du coup, pour réconcilier son amour du chaos avec l'ordre public qui lui colle une fessée toutes les trois semaines, Ablastine commence à travailler dans une des boîtes de striptease du centre.
• Elle aime son corps, elle aime qu'on aime son corps, elle aime danser, tout colle à merveille.
• Bon, elle se prend autant la tête avec des collègues qu'elle se fait de supers copains, parce qu'on ne peut pas la laisser deux minutes avec ses semblables, mais dans l'ensemble les choses se passent mieux que pas.
• Les copains de copains vont et viennent aussi, intègrent et ressortent du cercle naturellement. Le club brasse beaucoup de gens.
• Parmi tous ces gens de passage, Abla finit par rouler très sérieusement sur le copain d'une de ses collègues préférées, parce qu'il est juste trop cool et qu'ils se marrent bien.
• Agumon est déclaré bff-bae-4ever il a pas voix au chapitre merciii.
• Jusqu'à ce qu'Ablastine se mette à crusher sérieusement - évidemment - et se retrouve un beau soir à fixer le plafond du bar en moppant misérablement et remettant tous ses choix de vie en question.
• Compétition trop rude. Barre trop haute. Also clairement elle s'est fait sisterzone ahaha ET PUIS C'EST LE COPAIN DE SA COPINE MDRRR agent jellyfish : out.
• Du coup elle part sortir avec le videur de la boîte pour oublier.
• Ca se passe pas très bien.
• Du coup elle sort avec Machine, et Truc, et pour meubler sa vie et penser à autre chose elle part casser les couilles de beaucoup de gens et se foutre dans beaucoup d'embrouilles.
• Pas qu'on voie forcément la différence avec d'habitude. Elle a ses périodes.
• Elle couine. Elle s'occupe. Fait avec.
• Roule d'amour sur ses amis, les tourterelles incluses.
• Ensuite les tourterelles en question rompent dans le sang et elle passe un mois en pyjama sur son canapé à manger de la glace.
• ELLE SAIT MÊME PAS POURQUOI.
• Clairement pas à cause de la rupture même, même si elle passe un moment awkward à faire le crabe entre les deux.
• Elle pole dance agressivement pendant quelques mois de son côté, puis elle arrête.
• Elle ne prend cependant pas les devants pour aller raconter son crush à Agumon faut pas déconner non plus.
• Pas besoin vu que now elle a tout le loisir qu'elle veut pour le câliner ENCORE PLUS. Aha elle gère SI BIEN.
• (non, elle fixe le plafond depuis son canapé à chaque fois qu'il a une nouvelle copine) (mais tout va bien)
• L'avantage c'est que quand ça se passe mal avec les copines, maintenant elle peut bitcher avec Agumon sur ses ex.
• Peak bff goals elle kiffe ça.
• Le temps passe. Le monde échoue à donner à Ablastine une bonne raison de ne plus en faire qu’à sa tête.
• Elle a la flemme de trouver un autre travail.
• Elle est toujours amoureuse du poussin-dinosaure d'à côté.
• Elle fout sa tête dans des tonneaux et ses doigts dans les prises.
• Life's good.