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Felix Meyrick
- D 00 032037 14 02 B -

Felix Meyrick

En bref

Masculin
Pseudo : Ayu
Messages : 36




Take my mind
And take my pain
Like an empty bottle takes the rain
And heal, heal, heal, heal
And take my past
And take my sense
Like an empty sail takes the wind
And heal, heal, heal, heal
And tell me somethings last
Nom : Meyrick
Prénom : Felix
Surnom :Félation
Sexe : Masculin
Âge effectif : 100 ans
Âge apparent : 22 ans
Arrivé depuis : Le 3 du Neuvième mois de la première année.
Date de naissance : 18/02/1937
Date de mort : 15/03/2037.
Orientation sexuelle : Bisexuel.
Groupe : Quietus.
Nationalité : Ecossais.
Langues parlées : Anglais (langue maternelle), écossais (des brides).
Ancien métier : Artisan Menuisier
Métier actuel : Artisan Menuisier.
Casier Judiciaire


▬ Crimes commis :
▬ Circonstances du décès :
▬ Péché capital principal :
▬ Péché capital secondaire :
▬ Rapport à l'alcool :
▬ Rapport aux drogues :
▬ Addictions :
▬ Mauvaises attitudes récurrentes :
▬ A été victime :


Physique


Felix a le physique d’un jeune homme qu’on oublie facilement. Il n’est pas bien grand, et encore moins épais, alors il ne laisse pas une grande impression quand on le voit - et la banalité de son visage n’aide pas. Il a pratiquement toujours les yeux baissés, les épaules basses, et si son dos n’est pas vouté, il n’est jamais tout à fait droit non plus.
Il a une masse de cheveux châtains tirant sur le brun sur sa tête, qui bouclent de manière incontrôlable . En temps de pluie, c’est encore pire - et, vivant en Ecosse, autant dire qu’il y en avait, de la pluie. Ils ne sont pas bien longs, mais couvrent tout de même son front et ses sourcils. On voit à peine ses yeux lorsqu’il ne regarde pas en l’air. Ce qui est bien dommage quand l’on considère le fait que ses yeux, d’un très beau bleu ciel (ciel dégagé de printemps, diront nous), sont son atout majeur. Ils sont fins, légèrement en amande, entourés de cils noirs. Il n’y a pas beaucoup de place sur ses paupières, et ses sourcils, bien souvent froncés, n’aident pas à les agrandir. Son visage est quelconque : un petit nez droit, des lèvres fines et une forme ovale avec une jawline angulaire qui donne l’impression d’être coupante. Il a la peau pâle qui bronze facilement bien qu’elle ne voit pas si souvent le soleil que ça, et pas de problèmes en particulier avec.
Il mesure 1m64, et s’il a été, il fut un temps, mécontent de sa taille, il a depuis bien longtemps arrêté de se faire du mouron pour ça. Il y a des choses bien pire dans la vie que de ne pas dépasser le mètre 70, vraiment. Ça n’a jamais été un problème majeur de sa vie, au contraire - sa petite stature lui a été beaucoup plus bénéfique de le contraire. Felix est petit et agile. Il est aussi très fin - même un peu trop. Il est fin dans des bons jours, maigre en général, et en sous-poids dans des moments durs. Il perd du poids bien plus facilement qu’il n’en gagne, et s’il a pourtant pas mal de muscles fins, son poids dépasse rarement les 50 kilos. Il est angulaire, pas un pet de graisse de trop sur lui. Tout ce qui n’est pas os et peau est muscles. Felix, faute d’être imposant ou une machine à deadlift, est athlétique. Il est agile, court vite, et grimpe aux arbres avec une agilité qui dénonce de nombreuses années à pratiquer cette activité. Il a beaucoup plus de force dans les bras que l’on pourrait le penser en le voyant, et l’on est toujours vaguement impressionné quand il porte quelque chose de lourd sans problème.
De manière générale, on voit que Felix n’en a rien à faire de se mettre en valeur. Si la façon dont il se tient ne met pas la puce à l’oreille, la façon dont il s’habille et se coiffe (ou ne se coiffe pas, surtout), en dit long sur le sujet. Il s’habille sobrement, sans jamais s’efforcer à suivre la mode. Il ne sort pas du lot, jamais, et semble bien s’en contenter. Il n’est pourtant pas dénué de charme s’il fait un effort, mais visiblement, ça n’est pas du tout dans ses projets.


Caractère


Felix n’est pas un garçon bien social, c’est rien de le dire. Il parle peu, et rarement pour dire des choses futiles. Econome de ses mots et peu avenant, Felix n’a jamais ressenti le besoin d’aller constamment vers les autres de son propre grès. Il préfère la solitude à la mauvaise compagnie, voir même à la bonne par moments. Ca n’est pas nécessairement qu’il n’aime pas les gens, mais plutôt qu’il les aime à petite dose. Il a très peu d’amis (et encore, la plupart sont juste sa famille), mais ce peu est très important pour lui. Il n’a jamais aspiré à la popularité;  être constamment entouré, en soirée, l’argent, les filles, etc - tout ça, ça ne l’intéresse pas. Il est casanier, et il aime sa routine. Cela, bien entendu, ne s’est pas arrangé avec l’âge. Si ses filles, sa femme et ses frères le poussaient à sortir, ils étaient bien la seule raison pour laquelle il pointait son nez en dehors de son atelier. Quand il était plus jeune, il passait beaucoup de temps à l’extérieur pour la simple et bonne raison que rester à la maison était une bien pire option - et là encore, il avait une routine bien fixée.
Faute d’être hyper social, Felix est un homme loyal. Il prend bien soin de ceux auxquels il tient, et s’il n’est pas le garçon le plus expressif de ses sentiments, il fait tout de même de son mieux pour les témoigner. Il faut savoir le lire, Felix, mais quand on le connait assez bien, on voit qu’il n’est pas bien compliqué. Il aime être tranquille et au chaud. Il aime écouter les personnes qu’il apprécie parler de tout et de rien sans jamais piper mot. Il aime grimper aux arbres et peut y passer ses après-midi, là, tranquille, juste à regarder le monde ou encore même les yeux fermés, à écouter la vie autour de lui. Il est né avec une âme de vieux grincheux, comme le disait sa femme - mais un vieux grincheux avec un bon coeur.
Felix a un bon fond. S’il n’est pas particulièrement préoccupé par la cause humaine, qui lui semble bien trop vaste à son échelle, il ne se fiche pas du malheur des autres. Il n’est pas bien doué pour aider, mais ce qu’il peut faire, à sa ridicule échelle, il le fait.
La pauvreté et la misère, il connait. Il est passé par là, lui aussi - tout comme il connait la cruauté humaine. Il connait la violence et la peur. Il connait la boule au ventre et la gorge nouée, les jambes qui tremblent et les mains moites sur la poignée de la porte. Des années de maltraitance dans son enfance, il en garde beaucoup trop de séquelles - beaucoup plus qu’il n’aime l’admettre. Quand grimper aux arbres était une question de vie plutôt que de simple plaisir, quand pleurer était la pire offense qui soit, quand être petit et maigre était un synonyme de honte et de rage. Felix a toujours cette peur au ventre dont il ne s’est jamais débarrassé - cette honte qui l’accompagne, toujours, comme si s’avait été de sa faute. De la rancoeur et de la colère à ne plus savoir qu’en faire - beaucoup trop pour un jeune homme comme lui.
De ces années résultent un garçon qui n’a aucune confiance en lui. Le regard fuyant, le dos vouté,  la peur de l’autre, l’isolation - tout fait sens d’un coup lorsque l’on connait son enfance.
Felix est méfiant des gens, peu habile avec eux comme il l’est avec le bois. Les gens sont fourbes et imprévisibles - il n’a pas la tête à essayer de les comprendre. Mais il fait des efforts si la personne en fait de son côté. Il essaie d’être plus attentif, plus doux. Il essaie de se souvenir des dates et de ce que les autres aiment. S’il se souvient de votre anniversaire, c’est vraiment qu’il vous aime.
Mais Felix, s’il a un bon fond, et qu’il fait des efforts, n’est pas le garçon le plus agréable - en tous les cas. Et parfois, il est même très désagréable. S’il a eu une mauvaise journée, s’il a des problèmes, s’il a peur, si quelque chose ne passe pas, il peut devenir acerbe et même méchant. S’il a eu le temps de travailler sur sa personnalité et ses problèmes d’estime et autres pendant ses 100 longues années de vie, il ne s’en souvient pas vraiment. Le truc avec cette méchanceté soudaine, c’est qu’il la regrette presque toujours une fois le moment passé. Le truc, aussi, c’est qu’il ne sait pas s’excuser. Là encore, il a appris à le faire avec le temps, mais à 22 ans? S’excuser, c’était une faiblesse - admettre qu’il a eu tor, admettre qu’il a été faible pendant un instant - et ça, c’est inadmissible. Il n’est pas souvent physiquement violent (il en a horreur, de la violence physique), mais il sait très bien être blessant en quelques mots.
Il est borné, aussi, presque trop. Résilient, oui, mais une tête de mule comme jamais on en a vu.
Et surtout, au dessus de tout, Felix ne parle jamais de ses sentiments. Mdr imagine??? Avoir des sentiments???? Ptdr???


Histoire


—>Felix Meyrick est né le 18 Février 1937 dans une famille ouvrière écossaise, à Perth. Sa mère, Nellie, est une femme au foyer depuis la naissance de son premier garçon, Ramsay, en 1935 - elle travaillait auparavant en tant que maid pour des personnes plus fortunées. Alfred, son père, est un artisan travaillant dans la construction dans une période difficile. L’insécurité de l’époque, et celle de son travail, rendent bien difficile de mettre du pain sur la table - c’est bien là la raison principale pour laquelle Alfred rejoint les rangs de l’armée anglaise juste après la naissance de son troisième fils, Arthur, en 1940.
—> La vie n’en devient pas moins difficile. Nellie a bien du mal à s’occuper de ses trois enfants seule, et ainsi commence la descente aux enfers. L’angoisse permanente, la faim et l’impuissance face à la situation dans laquelle ils sont font que Nellie devient de plus en plus tyrannique. Elle mène sa famille d’une main de fer, ça, personne ne peut lui retirer.
—> Puis Alfred revient de la guerre - mais ça n’est plus l’homme qu’elle a épousé. L’homme drôle et intelligent et rayonnant qu’il était n’est plus que l’ombre de lui-même. Un bras rendu inutile par une balle dans l’épaule le contraint à abandonner son travail, et c’est sans compter sur la rotule explosée qui fait que son genoux droit ne sera plus jamais le même. Alfred est un fantôme blême dans son fauteuil où il picole toute la journée. Nellie est perdue, encore plus seule qu’elle ne l’était quand il était à la guerre.
—> Elle devient violente.
—> Les premiers souvenirs de Felix sont la violence - mentale, vocale, puis physique. Les cris, la faim, les coups. Le visage impuissant de son grand-frère, les larmes de son petit-frère, et le sentiment constant d’être coupable.
Il revoit son père sur son fauteuil, silencieux, le regard rivé dans le vide, une bouteille vide à la main. Des fois, son regard se porte sur eux quand Nellie assène un coup plus vicieux que les autres - et l’espace d’un instant, Felix a l’espoir qu’il fasse quelque chose. Il voit dans ses yeux l’horreur, la réalisation que quelque chose de grave se passe, que quelque chose de cruel est en train d’arriver - mais l’éclair est aussi vite reparti que ses yeux sur eux. Il a vu trop d’atrocités, fait  trop d’entre elles qu’il en est devenu habitué.
Ils ont gagné la guerre, il parait. A voir Alfred, on aurait pu penser le contraire.
—> Felix n’est pas bien brillant à l’école. Il passe le plus clair de son temps à fuir les autres élèves qui ne sont pas tendre avec lui, et bien peu de temps à apprendre. Ramsay est son opposé, comme il l’a toujours été, mais Felix n’arrive pas à trouver en lui d’envie pour sa situation. Il ne peut pas le détester non plus - son frère a toujours été respectable avec lui. Il est celui qui panse ses blessures et lui tient la main quand il tremble comme une feuille d’angoisse la nuit. Il ne se moque jamais de lui, et ne le laisse jamais en retrait.
Arthur n’est pas plus brillant que Felix, mais il est nettement plus aimable - et déjà plus grand. Il est le plus épargné de le famille, et ça se sent. Mais c’est tant mieux ; Felix préfère autant prendre le double des coups si cela signifie qu’Arthur garde son sourire.
—> Felix n’a pas beaucoup d’amis, ce qui n’a rien d’étrange quand l’on considère qu’il évite toutes les personnes qui ne sont pas ses frères comme la peste. Il y a trop peu de personnes de confiance, et Felix préfère autant se percher dans un arbre et ne rien faire que de supporter leurs railleries toute la journée.
Il n’a pas d’amis du tout, en réalité, jusqu’à ce qu’il rencontre Graham.
Big, dumb, sweet Graham. En de nombreux points, le garçon de 12 ans lui rappelle son petit frère, empoté mais si gentil qu’on lui pardonnerait tout sans se poser de question. Il est casse-pieds et pot de colle, mais honnête et foncièrement gentil. Et puis, personne n’a envie de l’embêter puisqu’il fait déjà une tête de plus que tout le monde, ce qui est un atout non négligeable.
Graham s’insère dans sa vie naturellement jusqu’à ce qu’ils soient inséparables. Jamais l’un sans l’autre ; même Felix, le garçon le plus insociable du monde, se retrouve à le chercher quand il n’est pas à proximité. Graham est là pour lui en toutes circonstances - même quand il est deux heures du matin et que Felix est à sa fenêtre le visage couvert de sang et d’hématomes parce qu’il a osé répondre à sa mère.
Il est toujours là pour lui, et Felix sera toujours là pour lui.
Peut-être.
—> Il quitte l’école dès qu’il en a l’occasion à ses 15 ans, puis se dirige vers la menuiserie. Le bois a toujours été un ami pour lui, et il se sent en sécurité et tranquille quand il le travaille. Et puis, les interactions humaines sont minimales, alors ça lui convient parfaitement.
—> Felix a 17 ans quand il réalise que quelque chose cloche vraiment chez lui. Il n’est pas censé penser que Graham est mignon - et encore moins avoir envie de se coller à lui en toutes circonstances. Et, God forbid, rêver de ses lèvres la nuit.
Il pousse ça sur son âge, sur le fait qu’on le traite de tapette en permanence parce qu’il est petit et fluet. Il pousse ça sur la frustration, sur sa mère qui n’en a pas finit de le gifler pour un regard de travers.
Le ras le bol, l’impuissance, les hormones, la vie.
—> Et sur l’alcool quand il l’embrasse pour la première fois. Ils ont 18 ans, une bouteille volée dans les placards des parents de Graham, et la lune pour témoin. Sur le moment, il a une impression de délivrance - de justesse. D’enfin.
Et puis les regrets.
C’est si simple de faire semblant d’avoir oublié que c’est ce qu’ils font. Ils n’en reparlent pas.
—> Graham finit le lycée, puis se tourne vers les lettres. Il est bien plus brillant que Felix, un avenir bien plus impressionnant que lui - si, et seulement si, il ne le ruine pas avec des conneries.
—> Visiblement, il n’est pas si intelligent que ça.
—> Ramsay est le premier à quitter la maison Meyrick. Il travaille dans des pubs dans l’espoir d’ouvrir le sien, à Edinburgh. S’il reste sur dans la même ville, même s’il dit que c’est parce qu’il a un emploi ici pour ne pas tirer sur la mauvaise corde de son frère, c’est clairement pour rester près de Felix et Arthur.
—> Felix, lui, ronge son frein pour le moment. Il ne veut pas laisser son frère seul, même si Arthur et son mètre 75 à 16 ans est déjà clairement plus avantagé que lui.
—> Felix continue de voir très fréquemment Graham - et leur relation ne fait qu’escalader. Felix sait qu’il devrait arrêter de le voir, mais trouve qu’il n’en a pas l’envie. Ils n’en parlent pas, jamais. Il sent que Graham a parfois les mots coincés dans la gorge, mais il ne les laisse jamais sortir. C’est bien, c’est parfait. Il y a trop à perdre.
—> S’ils n’en parlent pas, s’ils ne mettent pas de mots sur ce qu’il se passe, il peut continuer de prétendre que rien ne se passe du tout.
—> Ils ont 22 ans. Arthur est en formation pour devenir un pompier. Ramsay va bientôt ouvrir son propre pub à Edinburgh, loin de tout ce qui le retient, avec la jeune femme qu’il va bientôt appeler sa femme, Alana - une jolie femme avec un sourire sévère et des yeux bleus pétillants, ainsi qu’un caractère bien trempé qui est parfait pour vivre avec Ramsay.
Felix a un bon travail, et il est sur le point de déménager - enfin. Graham est à deux doigts de finir ses études, à deux doigts d’avoir sa liberté complète au delà de son petit appartement.
—> Et il décide de tout ruiner pour une autre liberté.
—> Il dit à ses parents qu’il est gay. Cela tourne aussi bien que l’on peut le penser.
—> Et bien sûr, quand tout casse, il se tourne vers Felix - l’homme qu’il aime, l’homme sur qui il pensait pouvoir compter. Et Felix n’est pas cet homme. Il panique. Il n’est pas homosexuel. Il n’est pas comme Graham. Ils ne sont rien si ce n’est des amis et…
Et tout était une erreur, du début jusqu’à la fin, y compris Graham.
—> Et en quelques mots, ils ne sont vraiment plus que ça - rien. Des années réduites à néant par quelques mots, et bien d’autres de regrets.
—> Briser le coeur de Graham lui fait plus de mal que tout au monde. Peut-être que les coups et les injures auraient été plus faciles à supporter que l’expression de désespoir sur le beau visage de son ami, mais il est déjà parti.
—> Cette nuit, pour la première fois depuis sa plus tendre enfance, dans les bras d’un grand-frère désemparé, il pleure.
—> La vie continue sans l’ombre de Graham. Felix ne sait même pas ce qu'il advient de lui, ne cherche pas à le savoir. C’était une erreur. Tout était une erreur. Ils ne sont pas pareils.
—> Il se renferme sur lui-même plus qu’il ne le faisait déjà.
—> Fin 1959 il assiste au mariage de Ramsay. Son frère est heureux, et Alana resplendissante.
—> En 1960, il déménage à Edinburgh, non loin de Ramsay. Il trouve un travail en tant qu’artisan-menuisier sous un patron exigeant, et Felix s’y plait assez. Durant cette même année nait la première fille de son frère, Caitlyn, qu’il gâtent presque trop selon les dires de la mère qui est presque aussi gaga.
—> L’année d’après, Arthur les rejoint à Edinburgh. Aucun des frères ne ressent le besoin de rentrer dans leur ville natale pour les fêtes. C’est sans doute mieux ainsi.
—> Cette même année, le 24 Décembre 1961, alors qu’ils célèbrent noël ensemble en buvant un verre au pub de Ramsay, Felix fait la rencontre de Moira, une amie d’une amie d’Alana. Apparemment, elle se souvient de lui du mariage. Felix n’avait pas fait attention à ce moment là, mais il est bien forcé de le faire maintenant qu’elle est en face de lui, descendant verre après verre avec le sourire d’un ange et un rire qui vaut tout l’or du monde.
Elle est la plus belle femme qu’il ait jamais vu, même avec Alana dans son champ de vision. Elle le sort de son cocon et le fait rire - vraiment rire - pour la première fois depuis…
Depuis.
 


Felix Meyrick ⎯ « I get to love you; It's the best thing that I'll ever do » 201227070326355528
     
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Felix Meyrick
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Aether
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Féminin
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Messages : 435


Félicitation

Vous êtes officiellement validé ♥

Je viens de perdre tout mon message mdr :B ça risque d'être moins parfait maintenant. Je suis atterré et traumatisé.

JE DISAIS DONC euh je sais plus ce que je disais gODDAMNIT. J'AI DIT QUOI. FELIX. BIENVENUE. JE TE SORS DE TON ATTENTE. EN EFFACANT MON MESSAGE TELLEMENT JE VEUX PAS DE TOI. GOD FORBID YOU DIE, YOU FUNKY LITTLE MAN. Saint-Pierre avait peut-être raison de le laisser à la porte finalement. Il doit vivre éternellement. Y'a une piste à creuser.

DONC pas de problème dans les descriptions et le yadda yadda casier (très beau crime, ça va lui coûter cher) nom métier TOUT VA BIEN. TOUT EST AUX NORMES. Il a le droit de passer la porte. Par contre, j'arrête pas d'oublier ce qui est écrit pour son surnom et du coup à chaque fois que je retourne dessus et que je vois FeLAtIoN je pleure si fortrhtrnhg Félation, mon garçon, ça ne va pas du tout.

J'ai vu genre deux ou trois fautes, et j'en avais noté une, mais je l'ai perdue dans le Grand Incident de 17h41 donc elle va rester avec les autres dans l'anonymat. C'était un mot manquant, ça je sais QAQ Il soulignait la démence précoce de Felix (tmtc Arthur mdRRRR on rigole bien hein  Felix Meyrick ⎯ « I get to love you; It's the best thing that I'll ever do » 1f602 ) (je souffre) (j'espère que ça se sent parce que c'est le cas) (je vous hais tous, vous et vos personnages) (je les tue puis les ressuscite puis les retue puis les empêche de rentrer à Asphodèle) (HA !)

DU COUP JE PLEURAIS PARCE QUE FELIX CE GROS SALAUD A LE TEMPS DE VOIR MOURIR TOUT LE MONDE et je pose un énorme shame sur Eleanor et Nathan qui se la jouent guest stars des Enfers en mode "je suis sexy et beau et différent et je vAIS MOURIR DE MANIERE TRAGIQUE PARCE QUE JE LE VAUX BIEN ET QUE JE VEUX TRAUMATISER CE QUE J'AI DE FAMILLE ET QUE JE SUIS UN GROS CON" (enfin un plus que l'autre, mais on se comprend) (elle prend aussi). Big up à Ramsay et Graham qui sont les seuls vrais. Ceux sur qui on peut compter QAQ CEUX QUI RESTENT ET QUI DURENT PARCE QUE TU PEUX PAS TE DEBARASSER D'EUX. Et Graham représente un quota. Donc il peut doublement pas. Ramsay pouvait, mais il est juste bon comme ça. Il reste parmi nous. Même si tout le monde craint B'(
J'étouffe tous les petits d'amour. Même si la plupart des petits sont plus du tout petits arrivés à la fin de l'histoire, vu que ceT ENFOIRE DE FELIX A 100 ANS. Holly et Iona ont 4ever genre 25 ans dans ma tête, c'est pas gravgretgrf (j'espère que je suis pas le seul à avoir du mal à vieillir les persos à un moment, parce que sinon je me sens très seul) (JE SAIS QU'ILS SONT GRANDS-PARENTS MAIS ??? cannot compute) (ce sont encore des bébés)
Spéciale dédicace à Jason qui aime bEauCoUp les tables, et est prêt à souffrir pour l'amusement général. Dédicace aussi au coming out de Felix sorti du néant, parce que NO TIME LIKE THE PRESENT. I mean vaut mieux annoncer ça qu'un cancer hEIN HA HAH A H (je souffre) (rendez moi Moira QAQ) (the mashed potatoes were so good) (im grieving)

Tho j'avoue que j'ai un peu chialé quand dans les dix premiers passages de l'histoire t'as BAM BAM BAM le père à la guerre, la mère violente, le père alcoolique, Felix qui est trop stupide pour suivre en cour/HYENE/ Jesus Christ let the poor kid take a break
Aussi, dans la liste des trucs qui vont vivre rent-free dans ma mémoire :

"Neil Reid meurt à son tour, allant rejoindre sa femme avec optimisme." #neverforget
et
"Ella se joint à eux et ils sont trois vieux sur un canapé à manger de la soupe et se crier dans les oreilles." #pourlagloire #yougoElla #teamvieux

J'avais noté autre chose mais je sais plus  Felix Meyrick ⎯ « I get to love you; It's the best thing that I'll ever do » 1f62d ça m'apprendra à mal c/c. La honte est sur moi. Mais Felix sera validé qUE DIEU LE VEUILLE OU NON. LE PAUVRE IL A SUPPORTE YAKOV IL A LE DROIT A UN MINIMUM DE RESPECT.

Allez mon grand (patronizing) :/

Tu peux dès à présent recenser ton métier et demander une chambre pour t'en faire un petit nid douillet. Tu peux également créer ton sujet de liens. Ton numéro va t'être attribué sous peu, si je l'efface pas hahahefrjdfkgf, et tu vas être intégré à ton groupe dans l'instant. Tu es arrivé dans la pièce Nord.

Felix and Moira sitting in the tree
K I S  S  I N  G

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