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Consuelo Arellano Solis
- D 35 061936 34 00 A -

Consuelo Arellano Solis

En bref

Féminin
Pseudo : Never
Messages : 5




« Why do we bother to stay ?
Why are you running away ?
Don't you feel like severing ? »
Nom : Arellano Solis.
Prénom : Consuelo.
Surnom : Chelo, Darling.
Sexe :
Âge effectif : 33 ans.
Âge apparent : 22 ans.
Arrivé depuis : A1 M8 J4.
Date de naissance : 16/03/1903, Mérida, Mexique.
Date de mort : 01/06/1936, New York, USA.
Orientation sexuelle : Bisexuelle.
Groupe : Quietus.
Nationalité : Américaine.
Langues parlées : Espagnol, Anglais.
Ancien métier : Artiste.
Métier actuel : Actrice.
Casier Judiciaire


▬ Crimes commis :
▬ Circonstances du décès :
▬ Péché capital principal :
▬ Péché capital secondaire :
▬ Rapport à l'alcool :
▬ Rapport aux drogues :
▬ Addictions :
▬ Mauvaises attitudes récurrentes :
▬ A été victime :


Physique



• Consuelo est un petit bout de femme tout ce qu’il y a de plus commun.
• Son visage est rond, elle a le teint halé de son Mexique natal, et deux grands yeux qui ont l’air de lui manger la tête ; bruns, souvent écarquillés, ils sont expressifs et la trahissent tout le temps.
• Tout comme ses lèvres fines, qui sont bien incapables de ne pas faire la moue, ou se pincer, pour accompagner ses yeux roulés au ciel.
• Ca, Consuelo est expressive. Avec ses mains, avec ses bras, avec les fossettes qui lui creusent les joues à chaque sourire. Elle est joyeuse, ou triste, ou bien en colère, et elle n’arrive pas à le cacher.
• Elle a passé tant de temps prostrée de son vivant qu’elle refuse de rester en place maintenant qu’elle a son corps à elle toute seule.
• Oui, c’était un peu perturbant au début, et elle n’a pas réussi à chasser entièrement trente ans passés à s’appuyer sur une sœur qui n’est plus là, mais elle fait des efforts.
• Elle boîte un peu parfois, a des réflexes qui la front trébucher, et la manie un peu bizarre de se déplacer sur le côté plutôt que droit devant elle.
• Pour essayer de faire disparaître tout ça, elle s’acharne à la danse. Au théâtre. A tout ce qui lui plaît bien mieux maintenant qu’elle a choisi de le faire.
Haut les cœurs.
• Du reste, il n’y a rien d’étrange sur sa figure ou sur son corps – elle est petite, tout juste 1m57, avec une silhouette des plus banales. Tout est là où il faut, sans excès, de ses doigts courts et bruns à ses chevilles toutes fines. Les foulées, naturellement courtes et pressées, se font plus larges et lentes quand elle se donne le temps d’y penser.
• Histoire de ne pas finir le nez dans la poussière.
• Elle est active, toujours en mouvement, avec des dents écartées sur le devant qui lui donnent l’air d’une enfant quand elle sourit. Ses cheveux, qui sont sa fierté, sont d’un brun aux nuances rousses qui lui tombent en lourdes boucles sur les épaules et dans le dos. Elle en prend grand soin, les attache de toute les façons possibles et imaginables, et passe des heures à se regarder dans la glace.
• Non, Consuelo n’a rien de plus qu’une autre, objectivement. Mais elle s’aime. Elle aime se voir, parce qu’elle n’a jamais pu le faire avant, pas sans la silhouette accrochée à la sienne qu’elle abhorrait. Elle se sent elle, et sautille, grimpe partout, juste parce qu’elle peut. Elle se sent légère et bien.
• Elle est coquette, aime les robes et les volants, les jolis foulards et surtout les bijoux.
• Boucles d’oreilles, colliers, bracelets, bracelets de cheville, bagues, tout y passe.
• Elle en perd souvent la moitié parce qu’elle ne fait pas attention, mais qu’à cela ne tienne.
• Elle s’aime même sans artifices.


Caractère



• Quelqu’un qui aurait connu Consuelo de son vivant ne la reconnaitrait pas à Asphodèle.
• Elle a tellement changé dans la mort, c’est affolant. En bien.
• La femme écrasée par les autres et silencieuse par obligation s’est métamorphosée en jeune fille vive, bruyante et décidée.
• Bien sûr, il y aura toujours des séquelles ; bien sûr, parfois, elle se roule en boule parce que la peur la prend au ventre sans prévenir, comme un prédateur cruel.
• Mais quand tout va bien et qu’elle croque la liberté à pleines dents, on l’entend de partout.
• Sa voix aigüe a la chance d’être mélodieuse et de ne pas vriller les tympans, mais on doit souvent espérer l’entendre moins. Elle s’exclame, crie, parle très fort et ne connaît pas le concept de penser ou lire dans sa tête.
• Elle a l’habitude de marmonner, ce qu’elle faisait aussi de son vivant, quand quelque chose l’embête et qu’elle le remâche. Ou réfléchit fort. Bref, Consuelo n’est pas discrète et on l’entend venir.
• Elle n’est pas timide et aime donner son opinion sur tout et n’importe quoi. Maintenant qu’elle n’est plus bridée, elle s’en donne à cœur joie.
• Même sur les choses qu’elle ne connaît pas ou à peine. On la retrouvera le nez dans un livre sur le sujet pour le plaisir de pouvoir échanger.
• Elle n’aime pas tant argumenter que parler avec les autres. S’incruster dans une conversation. Elle aime se sentir incluse et écoutée.
• Consuelo a cruellement besoin d’attention – ça peut sembler paradoxal, mais c’est juste que maintenant qu’elle ne peut plus attirer les regards pour les mauvaises raisons, elle aime les sentir sur elle.
• Être au centre de la scène. Elle a un petit côté diva jamais satisfaite.
• Ou satisfaite pour cinq minutes, le temps qu’elle trouve autre chose sur lequel jeter son dévolu.
• Fatigante, mais jamais fatiguée. Elle fait la roue de 8h à minuit sans pause, elle a une endurance extrême et parfois il faut juste l’asseoir de force.
Allez, on se calme et on arrête de courir.
• Fatigante, donc, mais pas méchante. Elle se giflerait avant d’insulter quelqu’un pour le plaisir ou parce qu’il a l’air différent des autres. Elle veut bien faire et ses éclats sont juste de pure frustration, et elle s’excuse vite.
Si vite. Tout le temps. Dès qu’elle a l’impression d’avoir blessé quelqu’un.
• Elle sait ce ça fait, et elle n’infligerait pas ça à son pire ennemi. Elle a la rancune tenace, mais pas cruelle. Elle lâche l’affaire, ignore, et voilà. Tout le monde se porte mieux comme ça.
• Pas le genre à revenir chercher des noises.
• Consuelo a aussi tendance à vouloir être la bannière des opprimés et à les défendre, qui qu’ils soient ; quelqu’un insulte quelqu’un ? Elle vole à son secours. Se met entre les deux, même s’ils font chacun deux mètres de haut.
• Elle est impulsive, et personne n’agressera personne sous son toit. C’EST BIEN CLAIR ?
• BIEN.
• Parce que si ce n’est pas clair elle se fâche. Fait la morale. Elle a enregistré tous les sermons de son frère et les ressort à la moindre occasion.
• Elle ne supporte pas la violence, quelle que soit la forme. On se respecte, et basta.
• Ca lui donne un petit côté maîtresse de cours d’école et psychorigide, mais elle s’en fiche.
• Elle aime faire ce qu’elle estime être bien. Ca la fait se sentir vivante. (entre parenthèses, bien sûr)
• Elle aime participer au bon maintien du monde. Que tout le monde se sente bien.
• Pas méchante, pas très délicate non plus, mais animée de la flamme du BON VOULOIR et de la motivation excessive.
• Elle a des buts à remplir, et elle les remplira. C’est tout.
Faites-lui confiance.
• (mais pas trop, parce qu’elle a des idées farfelues parfois et qu’elle prend des décisions sans en informer personne juste parce qu’elle sent que c’est la meilleure solution à tout)
• (bref, faut la baby-sitter un peu parfois)


Histoire



« I've seen the light
But not the kind I would've liked. »

Seen It All, Jake Bugg



• Le 16 Mars 1903, Josefina Solis Sandoval donne naissance à des jumelles. Siamoises, Rosalinda et Consuelo sont attachées l’une à l’autre au bassin.
• Leur famille est pauvre et leur premier réflexe est de vouloir les abandonner. Elles ne pourront pas travailler, elles ne seront qu’un poids, et elles leur font horreur.
• C’est la solution la plus simple. Elles mourront, ou une âme charitable acceptera de s’en occuper. Il y en a beaucoup, à l’église qu’ils fréquentent.
• Leur décision est prise quand Ricardo se concerte avec sa femme à la dernière minute. Ils observent les deux bébés dans leurs langes, songent à ces histoires extraordinaires de frères et sœurs siamois qui ont fait fortune. Ils se disent que si les petites survivent, ils ont peut-être plus à gagner qu’à perdre.
• Alors ils les gardent près d’eux.
• Rosalinda et Consuelo sont des fillettes fragiles, mais elles survivent. Grandissent, grossissent, le tout sous l’œil attentif de leurs parents, de leur sœur aînée, et des bébés qui ne tardent pas à suivre pour compléter la famille.
• Blanca a trois ans de plus qu’elles. Tous les autres sont plus jeunes. Il y a Mercedes en 1906, Gloria en 1908, et Lucio en 1911. Aucun n’est siamois.
• Les jumelles n’ont jamais vraiment fait partie de la famille. Leurs parents ne les voyaient pas comme des êtres humains à leur naissance, et maintenant qu’on se presse à la porte pour venir voir ces deux curiosités, elles le sont encore moins à leurs yeux.
• Un outil. De l’argent. Quelque chose d’utile. Mais pas leurs filles.
• Blanca est autoritaire et imite papa et maman. Elle les gifle, les pince, leur tire les cheveux, leur dit de faire-ci, de faire-ça, d’aller là et puis change d’avis juste pour les gronder.
• Mercedes suit sa sœur aînée dès qu’elle assez grande pour marcher et parler. Gloria souffre d’un pied bot, et est bien trop heureuse qu’on ne fasse pas attention à elle. Elle ne se mêle de rien et rase les murs.
• Lucio est le seul à montrer de la compassion et de l’amitié pour ses sœurs. Il leur parle, les console, et leur amène de la nourriture quand elles sont punies.
• Il n’y a pas que les gifles et les cris. Ricardo et Josefina veillent au grain, et elles sont jetées dans un placard quand elles ne sont pas obéissantes. Elles sont attachées, privées de nourriture, frappées là où ils savent que personne ne le verra.
• La famille se fait de l’argent et de la réputation au fil des années.
• Quand Rosalinda et Consuelo ont 7 ans, leur renommée dépasse leur ville natale de Mérida au Mexique ; Albert Albright et sa femme, June, toquent à leur porte.

• Les Albright sont de riches américains qui voient en eux un moyen de gagner encore plus. Ils discutent et parlementent avec les Arellano Solis, et finissent par les ramener avec eux aux Etats-Unis.
• Ils deviennent leurs généreux mécènes. La famille au grand complet est logée dans une de leurs nombreuses résidences, bien habillés et nourris. Ricardo, Josefina et leurs filles se félicitent de cette Providence inattendue ; quant aux jumelles, elles vont mal.
• Dur de dire que leur bonheur est apparent – il est matériel, et encore. Elles sont toujours exhibées, et maltraitées pour leur faire passer l’envie de désobéir. Autrefois proches, ils s’arrangent pour les monter l’une contre l’autre, et le résultat est tristement concluant.
• Rosalinda et Consuelo se détestent. Elles s’étouffent, se rejettent la faute de leur triste condition, se disent chaque jour qu’elles seraient mieux l’une sans l’autre. A chaque cours de chant, de danse, de musique, dans le noir d’un placard ou attachées au lit, elles ne rêvent que d’une chose : vivre séparées et loin l’une de l’autre.
• Elles n’en peuvent plus des représentations, des chaînes qu’elles sentent autour de leur cou comme si elles n’étaient que des singes savants.
• La nuit, elles n’en peuvent plus de sentir l’autre au bout du lit.
• Et les séparer aurait pu être possible – mais elles ne serviraient plus à rien, et il n’en est pas question. Maman et papa refusent. Les Albright aussi.
• Rosalinda et Consuelo n’ont pas leur mot à dire, ce sont d’éternelles mineures.
• La possession de quelqu’un d’autre, ad vitam aeternam.

• Le quotidien s’étire et s’allonge et n’en finit pas. Durant des années, tout se passe aux USA comme au Mexique, l’or et les paillettes en plus.
• Blanca est toujours cruelle mais se marie bien. Un immigré mexicain, tout comme eux, qui a fait fortune.
• Ignacio est respectueux, mais comme Gloria ; il hoche la tête sans rien dire. Au moins, il ne les frappe pas, et ne les rabaisse pas. Elles prennent ce qu’elles peuvent.
• Lucio reste la seule personne avec laquelle Rosalinda et Consuelo peuvent converser. Le seul à élever la voix contre les mauvais traitements, aussi ; mais il a 8 ans de moins et il a beau être le seul garçon de la fratrie, il reste le plus jeune. On rit, on lui dit qu’il ne peut pas comprendre.
• Il tente par tous les moyens d’atténuer les blessures, mais les adultes savent se servir de cette affection pour faire du chantage aux jumelles.
• Ce serait dommage que Lucio n’ait pas d’avenir par leur faute, n’est-ce pas ?
Ce n’est pas ce qu’elles veulent, hmm ?
• Elles serrent les dents.
• Quand elles ont 20 ans, une idée germe dans la tête de leurs tuteurs.  
• Des siamoises, c’est bien, mais si elles tombaient enceintes ? Ca pourrait être une bonne publicité. Un bon coup de poing dans la figure de la concurrence.
• Les chances de survie des enfants sont quasi nulles, mais ça ne les empêche pas de pondérer l’idée. Puis, un an plus tard, de la mettre à exécution.
• On appelle pour ça Emmett Albright, le fils cadet du couple. C’est un gentil et joli garçon, mais trop simplet.
Vite effrayé. Ricardo et Josefina ont beau menacer Rosalinda et Consuelo, elles refusent de se laisser faire. Elles hurlent, le griffent, lui donnent des coups de poing. Il refuse de les approcher à nouveau.
• Les filles restent sur leur position. Elles préfèrent encore dormir durant des années dans un placard ou laisser les clients les toucher un peu que se faire violer.
• Tout mais pas ça.
• Josefina trouve qu’elles abusent et les force à boire de l’alcool. Ca les rendra plus dociles, et ils pourront enfin passer aux choses sérieuses.
• Emmett accepte, mais à reculons. Ils réitèrent l’expérience trois fois pour êtres sûrs.
• Quelques semaines plus tard, le médecin confirme qu’elles sont enceintes.
• Rosalinda et Consuelo en deviennent hystériques. La vaisselle en fait les frais. Elles sont traitées avec indulgence vu leur état, mais c’est bien la seule raison.
• Consuelo finit par faire une fausse couche. Ce qui aurait dû lui faire plaisir se transforme en traumatisme. Elle est giflée, insultée, traitée de tous les noms, comparée à sa sœur qui fait bien mieux les choses qu’elle.
• Sœur qui pleure parce que son bébé continue de grandir et qu’elle aurait préféré le perdre. Consuelo la déteste un peu plus. Commence à penser qu’elle voulait l’enfant et à lui en vouloir de l’avoir et pas elle.
• Le fossé s’agrandit. Durant sept mois et demis, elles vivent le martyr.
• Rosalinda accouche le 25 Avril 1925 d’un petit garçon frêle et prématuré dont on ne sait pas s’il va vivre. Consuelo prie férocement pour sa mort.
• Il vit.
• Ricardo, Josefina et les Albright ont ce qu’ils désiraient ; une renommée accrue et un autre enfant à parader.
• Le fils des sœurs siamoises, ça fait joli comme titre, sur le journal.

• Les griffes se resserrent sur la petite famille.
• Felipe est bien traité, contrairement à sa mère et sa tante. C’est aussi un Albright, alors il n’est jamais frappé.
• Paradé, exhibé, mais cajolé.
• Pas par Rosalinda et Consuelo, qui l’ont toutes les deux en horreur, mais par les adultes et Lucio.
• Il n’a pas encore 14 ans, mais il fait en sorte qu’il n’attrape pas les mauvaises manies de ses cousines, de ses tantes et de ses grands-parents. Il sert d’intermédiaire entre lui et les jumelles, essaye de les réconcilier, sans succès. Il n’abandonne pas pour autant.
• Il a de jolis rêves de cohésion. Vains, mais il s’entête.
• En 1930, ils recommencent l’expérience « bébé ». Rosalinda et Consuelo tombent enceintes, mais font toutes les deux très vite une fausse couche qui les cloue au lit.
• Lucio se met très en colère et il commence à être assez grand pour qu’on l’écoute. Ses parents jurent de ne pas recommencer.
• Si jamais elles mourraient, ils n’auraient plus rien.
Ce serait embêtant.
• Les saisons passent. Rien ne change. Toutes les tentatives de révolte sont avortées, écrasées par des années de chantage et de manipulation.
• Elles ont laissé de gros sillons sur leur cœur, des traces indélébiles.
• A la fin, Consuelo ne sait même plus qui elle est, ni si elle est vraiment quelqu’un. Sa sœur, un objet, un fantôme ? Elle a du mal à penser par elle-même.
• Il faut qu’elles tombent malades pour que la lumière se fasse.




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« Requiescat in pace »
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Aether
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Féminin
Pseudo : Nii'
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Félicitation

Vous êtes officiellement validée ♥

CHELO MON PETIT POUSSIN AAH. C'était la joie, encore, mdr. Je suis heureux. Je vibre de bonheur. Je passe de bons moments. Je te remercie beaucoup pour cETtE JoIe Sans FiN dANS cHACuNe De TeS hiStoIreS  Consuelo Arellano Solis ▬ « Car je suis seule à les entendre les silences  »  1f62d

Pas de soucis dans les descriptions, pas de fautes, rien que les petites jambes de Consuelo qui court partout et grimpe aux arbres et c'est trop mignon  Consuelo Arellano Solis ▬ « Car je suis seule à les entendre les silences  »  1f62d J'aime la voir contente, ok. J'aurais dû commencer par l'histoire et fINIR PAR LES DESCRIPTIONS, CA AURAIT ETE MIEUX POUR MON PAUVRE COEUR. POURQUOI JE REFLECHIS JAMAIS.
Le casier est oki dokie, le reste des infos aussi, c'est la fête mes aïeux. J'attends le jour où j'aurai un truc à redire. Mon heure de gloire viendra )): (non, parce que je vous l'aurai dit avant) (du coup je pourrai jamais et cette partie sert à rien) (mais je fais ce que je veux)

BON JE TE CACHE PAS QUE JE ME SUIS BIEN AMUSE DANS TOUTE CETTE J O I E AMBIANTE MMMMH ON S'AMUSE BIE/BRIQUE/ Consuelo et Rosalinda avec leur fckn vdm là. Je vais arriver avec la scie et les séparer, ça va être tRES VITE FAIT. Clairement mieux. Ne me remerciez pas. Lucio pourra me fournir le matériel s'il veut bien être aimable  Consuelo Arellano Solis ▬ « Car je suis seule à les entendre les silences  »  1f60f
Josefina et Ricardo, gROS CONS (j'ai failli marquer Rosario et j'en ris encore, je m'excuse platemetrgehtrf) (lui aussi a foiré l'éducation de ses enfants, mais au moins il les a pAS TABASSES ET EXPLOITES) (ou alors il l'a bien caché cE SALAUD). Je vais laisser un cautious pass à Blanca parce qu'elle était petite et influencée. Mais elle se prend des claques quand même :/ Gloria a le pass de la fille du milieu qu'on oublie. Et Lucio a le pass du gentil petit frère. WE ALL LIKE THOSE. NEED MORE OF THOSE. UNE ARMEE DE LUCIO.
Lucio mais ce sont des triplés et ils sont tous pareils. Good. Bien. On tient un truc.
Est-ce que Lucio peut être ga/BRIQUE/ (ok je me tais) (mais si tu es ouverte aux pots de vin.... je suis là.... avec du Yethe....) ( Consuelo Arellano Solis ▬ « Car je suis seule à les entendre les silences  »  1f609 )
EMMETT JE. THIN FUCKING ICE MY DUDE. Je vais prendre le parti de le foutre dans un coin avec des couvertures et de lui apprendre de meilleures valeures que celles de ses paretgrehtrf qUE JE REMETS TOTALEMENT EN QUESTION, OUI. Y'A BEAUCOUP DE CONNARDS DANS CETTE HISTOIRE LA J'AI DU PUTAIN DE MENAGE A FAIRE
LAISSEZ LES JUMELLES OU JE VOUS ARRACHE LA TÊTE
Ca vaut aussi pour les jumelles, qui doivent se laisser sinon je leur arrache la tête. La pauvre Rosalinda, là, on se calme Chelo. Vous êtes dans le même fucking bateau mademoiselle :// (bon, de force, et un peu attachées ensemble, mais çA CHANGE RIEN OK)

Et je me barre avec Felipe. Bye. Je vais lui trouver une bonne situation et un bon endroit et le rendre heureux, fear not. B'( IL LE MERITE.

CONTRAIREMENT A D'A U T R E S

J'ESpErE qUE voUS dEviENdReZ tOUs PAUvReS eT mISeRabLes (non) (peut-être) (je sais pas encore)

COME ONE COME ALL TO THE MOST MARVELOUS S H O W

Tu peux dès à présent recenser ton métier et demander une chambre pour t'en faire un petit nid douillet. Tu peux également créer ton sujet de liens. Ton numéro va t'être attribué sous peu, sans erreurs si possible, et tu vas être intégrée à ton groupe dans l'instant. Tu es arrivée dans la pièce Nord. (once again, feel free to change)

God, won't you leave me alone ?

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